Deux jours seront nécessaires pour disperser les œuvres constituant une partie du stock de la galerie de Bertrand Gautier et Bertrand Talabardon (voir Gazette n° 10, page 14). Un ensemble particulièrement fourni emmené par le Portrait d'un condottiere de Jean-Auguste Dominique Ingres (120 000/150 000 €, voir Gazette n° 3, page 6), une Vue imaginaire de Lyon sous la plume de Philippe-Auguste Hennequin (30 000/40 000 €), un dessin de Louis-Léopold Boilly, Jeune Fille portant son frère sur ses épaules dans un jardin (vers 1797-1799), préparatoire à son tableau La Petite Sœur (80 000/100 000 €), une aquarelle gouachée de Gustave Moreau, Le Poète persan (150 000/200 000 €), une paire de toiles de Jean-Baptiste Oudry, Io changée en vache et Hippomène et Atalante (60 000/80 000 €), une autre de Jean-Baptiste Marie Pierre, La Savoyarde et Le Savoyard (80 000/100 000 €). Difficile de repartir les mains vides, le choix des sujets et des artistes se conjuguant avec une fourchette d'estimations allant de quelques centaines à 200 000 €.
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