Notre calendrier des enchères recense les ventes à venir en France et à l'étranger, triées par date, lieu de vente, maison de ventes et/ou spécialité. Vous pourrez y retrouver les catalogues et accéder directement à la vente grace au bouton "Enchérir". A consulter également à partir de cette page les articles publiés par le magazine en lien avec chaque vente.
Dans cette vacation fleuve prévue sur 5 jours et qui verra défiler monnaies et médailles de toutes les époques et de tous les horizons, on retiendra une très rare pièce d'or de 10 ducats frappée à Vienne en 1783 à l'effigie de Jean de Schwarzenberg et espérée 175 000 €. Parmi les autres lots d'importance, une pièce de 10 ducats or de Ferdinand III de Bohême, frappée en 1640, se monnaiera 60 000 €, et une pièce en argent de 12 roubles de Nicolas I er de 1841 partira à 50 000 €. Il y en a pour toutes les bourses, les plus petites estimations tournant autour de 20/25 €.
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Les 10 ducats de Jean Népomucène
Cette monnaie d’or de la fin du XVIII e siècle estLire la suite
Les maîtres anciens et le XIXe siècle et règnent en maître sur cette vacation. Des premiers, on retiendra un Portrait de Marie-Caroline de Habsbourg-Lorraine , reine consort de Naples et des Deux-Siciles, huile sur toile (131 x 101 cm) de Camillo Landini (20 000/30 000 €), ou une C orbeille de citrons, oranges, bigarades et grenades sur un entablement , huile sur panneau (50 x 72 cm) attribuée à Jacob van Hulsdonck (même estimation). Des seconds, signalons un marbre blanc signé Giovanni Battista Lombardi et daté 1864, Ruth , sur une colonne de marbre blanc (218 cm), ou encore d’Ignace Spiridon, une huile sur toile (101 x 75,5 cm) d’une Jeune femme dénudée se caressant les cheveux (10 000/15 000 €).
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Le portrait féminin selon Camillo Landini : royauté napolitaine
Daté de la fin du XVIIIe siècle, ce portrait seraitLire la suite
Fonds d'atelier Jean Thomas
mardi 26 septembre - 11:00 (CEST)
77, rue Cauchoix - 95170 Deuil-la-Barre-Montmorency
En mai dernier, une première vente débutait la dispersion de l'atelier de Jean Thomas. Ce nouvel opus présente plus de 200 œuvres peintes entre 1945 et 2000. L'occasion de découvrir l'évolution de son travail, du lumineux paysage de 1947 structuré par les lignes fantasques des arbres longeant une route passant sous un aqueduc (100/150 €), aux œuvres misérabilistes comme Le Grand Chartreux , peint en 1957 dans des camaïeux de gris mettant en exergue les plis très graphiques de son vêtement (200/300 €). Son travail avec les lignes s'exprime aussi bien à travers une vue de Montmartre depuis les toits de la rue Cavé, en 1974 (autour de 500 €), qu'avec ses études de New York, la même décennie. Le travail de la couleur sera apprécié sur d'autres œuvres qui feront partir en voyage, comme Polynésie : Tahiti : La pointe Ofaihonu, depuis le trou du souffleur , peinte en 1982 (environ 400 €).
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Atelier de Jean Thomas, 2e partie
Formé à l’Académie des beaux-arts de Lyon, Jean Thomas (1923-2019) a commencé à exposer ses œuvres en...Lire la suite
Provenant de six maisons des Airelles à Courchevel, du château de la Messardière à Saint-Tropez ou encore d'une bastide de Gordes, 154 lots prendront le chemin des enchères (entre 10 et 1 200 €). Au plus haut, trois lots de lustrerie du château, construit au XIX e siècle et devenu au début du XX e un hôtel de luxe : 600/1 200 € sont à prévoir pour trois appliques marquées « Matthieu » en bronze doré et verre teinté bleu, à deux bras de lumière à motif de mascarons, ornés de pampilles en cristal et bougies simulées, et 400/800 € pour une paire d'appliques de même style. Provenant quant à eux des Airelles, une commode scribanne en bois laqué à décor de rinceaux et de fleurs se négociera à 400/800 €, de même qu'un fauteuil Fat-Sofa, à haut dossier et garniture en laine rouge, modèle créé en 2007 par la designer Patricia Urquiola.
Membre important du groupe Zéro, Jef Verheyen signe Sans titre , acrylique sur toile (180 x 180 cm) dont le dépouillement contraste avec son estimation de 30 000/40 000 €. Bien plus colorée est Fillette dans un jardin fleuri , huile sur toile (34,5 x 26,5 cm) d'Émile Craus provenant de l'ancienne collection Vullers (25 000/35 000 €). Du même artiste et de la même collection, Vaches traversant la Lys (40 x 60 cm) nécessitera 10 000/15 000 €. De Rik Poot, un bronze patiné Ode aan een bergrivier (61,5 x 54 x 23,5 cm) trouvera preneur à 20 000/25 000 €. Comptez 6 500/8 000 € pour emporter Le Jugement dernier de Crispin Van den Broeck, huile sur toile (110 x 175 cm) vers 1580.
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Une toile anonyme de Jef Verheyen
Membre important du groupe Zéro, Jef Verheyen (1932-1984) développe ses premiers monochromes blancs,...Lire la suite
Disparu au début de l'année, Saverio Lucariello (1958-2023) laisse une œuvre protéiforme – sculptures, tableaux, dessins, photos, installations – et pour le moins surprenante dans laquelle il n'hésite pas à se mettre en scène. Un univers étrange où des foules de personnages croisent des formes organiques, des objets, etc. L'ensemble provient de son atelier dans l'Yonne et est issu de sa succession (mises à prix entre 300 et 2 000 €).
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Saverio Lucariello en 270 œuvres
Ne cherchez pas la cote de ses œuvres, vous risqueriezLire la suite
Vendéen de naissance, Charles Milcendeau effectue ses études à Nantes, avant de partir pour l'académie Julian et l'atelier de Gustave Moreau à Paris. Il voyagera beaucoup, notamment en Espagne, mais reviendra régulièrement dans son marais de Soullans, où il peindra des paysages comme cette toile de 1913, La Corvée d'eau, qui pourrait partir à 6 000/8 000 €. Parmi les nombreux tableaux en lice, nous mettrons également en avant un Paysage animé au chasseur de l'école hollandaise du XIX e (2 000/3 000 €), mais aussi une toile signée Roger Mühl, entre figuration et abstraction, dépeignant des Barques bretonnes (3 000/4 000 €).
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Le marais vendéen selon Milcendeau
Charles Milcendeau (1872-1919) nous invite dans sa Vendée natale avec cette grande huile sur toile signée,...Lire la suite
Plus de deux mille œuvres d'art médiéval et de la Renaissance ont été réunies par un passionné, Alex Brunet, pendant cinquante ans. La majeure partie des pièces de cette collection érudite concerne la Haute Époque, qui sera représentée par près de 300 lots, dont cinq tableaux, dans cette première dispersion, mise en lumière par l'"Événement" de ce numéro. À la manière d'un collectionneur du XIX e siècle, le médecin angevin a accumulé des témoignages artistiques et historiques, qui seront proposés dans une fourchette de 400 à 40 000 €. Une deuxième vente, sur trois jours cette fois, se déroulera à Angers vers la fin de l'année, pour disperser le reste de ce travail de toute une vie. La collection concerne en effet également les domaines de la numismatique, l'art islamique, l'archéologie, les textiles ou encore les œuvres graphiques.
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Collection Alex Brunet, l'art de vivre du Moyen Âge à la Renaissance
Chaque pièce de la collection rassemblée par AlexLire la suite
Parmi les lots qui pourraient enflammer le public, on signalera des photographies de Johnny Halliday en concert ou en coulisses par Jean-Pierre Leloir (5 000/7 000 €), un tambourin ayant apprtenu à Prince, décoré du Love Symbol par son ex-femme, Mayte, et utilisé lors d'un concert en 1994 à Monaco (1 000/2 000 €), des costumes de scène de Martin Gore de Dépêche Mode (1 500/2 500 €), un fragment d'un mur du Bus Palladium dédicacé par des artistes (Izia, Shakaponk, Axel Bauer, Vanessa Paradis, Christophe, The Datsuns, C2C) ayant appartenu à l'ancien directeur de l'établissement parisien, Cyril Bodin (5 000/8 000 €). Ou encore une cape signée par le Jimi Hendrix Experience le 9 octobre 1967 à l'occasion de leur premier concert en vedette à l'Olympia un an après leur apparition aux côtés de Johnny Halliday. Le précieux vêtement appartenait à Robert Lloyd, adolescent d'origine galloise, qui, n'ayant pas les moyens d'assister au concert, put obtenir toutefois une signature de chacun des membres du trio (6 000/8 000 €). Enfin, si 10 000/15 000 € sont à prévoir pour "chausser" une paire de mocassins portés par Michael Jackson à l'occasion de l'émission télévisée organisée pour le 60 e anniversaire de Sammy Davis Jr le 13 novembre 1989, il faudra débourser 60 000/100 000 € et 100 000/150 000 € respectivement pour décrocher le premier Fedora porté par Bambi en 1983 (voir Gazette n° 32, page 22), et une guitare mythique ayant appartenu au bluesman T-Bone Walker.
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La Gibson de T-Bone Walker
Après avoir probablement connu plusieurs propriétaires,Lire la suite
Un chapeau emblématique de Michael Jackson ? Un fédora bien sûr !
Le 29 août, Michael Jackson aurait eu 65 ans. HasardLire la suite
Le Vietnam sera évoqué à travers ses plus beaux paysages et ses plus jolis minois. Pham Hau a transcrit en laque le cours tumultueux de la Rivière noire à Cho-Bo, rehaussé d'or, d'argent et de nacre. Entre 400 000 et 600 000 € seront nécessaires pour ce panneau. Les enfants joueurs de Mai-Thu, chacun représenté occupé à une activité différente au bord d'une rivière, en 1971, sous le regard bienveillant d'un vieillard, attendriront les cœurs autour de 250 000 €, au même titre qu'une ronde enfantine qui fera tourner les têtes, autour de 500 000 €. L'artiste a également représenté tout une série de jeunes femmes, tenant un éventail, jouant de la flûte, à la toilette, se peignant ou se faisant voler un chapeau par le vent. C'est en bronze, que Vu Cao Dam a immortalisé la beauté, avec une tête féminine proposée autour de 40 000 €. Si Le-Pho a immortalisé ses contemporains, il a également livré plusieurs tableaux de fleurs et une nature, comme celle montrant des pivoines et une plante en pot (400 000/700 000 €).
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Une vingtaine de tableaux de Mai-Thu
Dix-neuf encres et couleurs sur soie de ce VietnamienLire la suite
Paysage du Haut Tonkin par Pham Hau
Sujet cher au peintre vietnamien, les rapides de Cho-Bo,Lire la suite
Femme à la lecture , œuvre de jeunesse de Théo Van Rysselberghe, sera à 8 000/12 000 € l'un des lots phares de cette vacation bruxelloise. Au même prix, on pourra lui préférer un Intérieur de taverne , dessin à la plume et encre brune sur trait de crayon noir et lavis d'encre (19,5 x 23,5 cm) par François Boucher d'après un maître nordique. Un album de 1921 des Scènes de la vie du Christ par James Ensor comprenant 31 lithographies en couleurs et un frontispice, numéroté 96/250 et signé de l'artiste, est attendu à 5 000/7 000 €. De Georges Jouve, on retiendra une paire d'appliques en faïence verdâtre et laiton modèle "lys" (même prix). Signalons enfin une table basse "Traccia" à plateau doré à la feuille et montants en bronze doré imitant les pattes d'un volatile, édition Cassina Simon Collezione, pièce de Meret Oppenheim, estimée 1 000/1 500 €.
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Théo Van Rysselberghe intimiste
Bien que non datée, cette huile sur panneau (55 x 40 cm) d’une Femme à la lecture , signée Théo Van ...Lire la suite
Tableaux anciens et modernes, objets d'art et d'ameublement, arts décoratifs du XXe, design, Extrême-Orient, archéologie, arts d'Asie, objets de curiosité
Si c'est un bracelet et sa pendeloque du modèle « Inséparables » de Van Cleef & Arpels – signés Georges L'Enfant –, ornés de rubis et diamants et figurant les oiseaux sur la pendeloque ronde, survoleront les estimations (10 000/15 000 €), nous attirerons votre attention sur deux peintures signées Maurice Denis. Le « Nabi aux belles icônes » avait offert ces huiles sur carton à Mme Gabrielle Faure, son élève. Ainsi 6 000/8 000 € sont-il attendus d'une Esquisse pour La Guérison de l'aveugle, Ploumanac'h , produite vers 1925, et 4 000/6 000 € pour la Visitation dans l'atelier du Prieuré , datée vers 1920. Le reste du programme se fera éclectique avec aussi bien une céramique émaillée noir de Georges Jouve, de son modèle Banane des années 1950 (3 000/5 000 €), qu'un cratère en cloche à figures rouges issu d'un travail apulien vers 360 av. J.-C., à décor de jeune éphèbe assis sur un coussin et tenant un plat d'offrandes (même estimation).
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Une Visitation peinte par Maurice Denis
Au sein d’un ensemble d’œuvres offertes à sa fidèleLire la suite
Annoncée depuis plusieurs mois, la collection de tableaux et de sculptures, modernes et contemporains, de Gérard Depardieu est enfin dévoilée au public (voir Gazette n° 30 page 6 et n° 32, page 14). Un ensemble impressionnant composé de 230 œuvres, parmi lesquelles des bronzes d'Auguste Rodin, Germaine Richier et Ousmane Sow, des nus féminins d'Eugène-Henri Duler (1902-1981, 2 000 à 5 000 €) et Raoul Lamourdedieu (1877-1953, 3 000/6 000 €), un panneau en haut relief en plâtre patiné façon terre cuite de Jean Terzieff, Les Trois Grâces (vers 1936-1938, 5 000/8 000 €), un Arbre de vie (ou Dancing Totem), 1956 en bois par Helen Phillips (10 000/15 000 €). Au chapitre des arts graphiques, outre un ensemble d'une trentaine d'œuvres d'Eugène Leroy, on a retenu des acryliques d'Aki Kuroda, une gouache et encre d'Alexander Calder, Sun Shine, 1974 (60 000/80 000 €), d'autres de Joan Miró, Henri Michaux, Bengt Lindström ou Alberto Lescay.
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Collection Depardieu, de Rodin à Ousmane Sow
Sur deux jours, les mardi 26 et mercredi 27 septembreLire la suite
Gérard Depardieu, à travers l'art moderne
L’acteur se sépare de sa collection d’art amasséeLire la suite
Les Leroy de Gérard Depardieu révèlent un géant de la matière
Un important ensemble d’œuvres d’Eugène Leroy garnitLire la suite
Gérard Depardieu : une collection de peinture et sculpture à fleur de peau
La puissance de ces oeuvres réunies à contre-courantLire la suite
Dans cette vacation fleuve prévue sur 5 jours et qui verra défiler monnaies et médailles de toutes les époques et de tous les horizons, on retiendra une très rare pièce d'or de 10 ducats frappée à Vienne en 1783 à l'effigie de Jean de Schwarzenberg et espérée 175 000 €. Parmi les autres lots d'importance, une pièce de 10 ducats or de Ferdinand III de Bohême, frappée en 1640, se monnaiera 60 000 €, et une pièce en argent de 12 roubles de Nicolas I er de 1841 partira à 50 000 €. Il y en a pour toutes les bourses, les plus petites estimations tournant autour de 20/25 €.
Après un premier volet en juin, Artcurial réitère en dispersant la seconde partie d’une collection européenne de portraits en miniature. Et ce n’est pas une, mais bien neuf miniatures sur ivoire, réunies dans un cadre en bronze ciselé et doré sommé d’une couronne, qui occupent la plus haute marche du podium à 8 000/ 12 000 €. Si celle figurant Louis XVI est de la main de Louis-Marie Sicard, les autre sont réalisées d’après des portraits par Ducreux ou Drouais notamment. Contre 3 000/5 000 €, on pourra emporter six miniatures sur ivoire exécutées par Giacomo Andreoli, comprenant les portraits de Joachim Murat, de son épouse Caroline Bonaparte et de leurs quatre enfants.
Cette vacation de 540 textes littéraires – en l'occurrence les éditions originales du XX e siècle réunies par Hubert Morent – se déroulera en deux parties : en salle jusqu'au numéro 195, puis uniquement sur Internet. Les ouvrages les plus chers au cœur de ce lecteur passionné ont été reliés par Jacqueline Lickens, à l'image de l'édition originale de L'Europe buissonnière d'Antoine Blondin, l'un des mille exemplaires numérotés sur vélin alfa, enrichi d'un texte autographe de Michel Déon (1 000/1 200 €), ou encore l'un des trente exemplaires de tête sur vélin de Madagascar du Journal littéraire, 1893-1956 , 19 volumes de Paul Léautaud (3 000/4 000 €). Gilles , principal roman de Pierre Drieu La Rochelle publié en 1939, se fera remarquer pour son superbe état. Il s'agit de l'un des trente exemplaires sur vélin pur fil (5 000/6 000 €).
Place aux objets d'art et de collection lors de la session du mercredi. Une commode Louis XVI estampillée Riesener à léger ressaut central, en bois naturel, bois de placage et marqueterie (6 000/8 000 €), côtoiera un vase balustre chinois en porcelaine et émaux de la famille rose à décor – corail et bleu – de deux dragons affrontés à cinq griffes autour d'un joyau sacré, au-dessus des flots écumants (4 000/5 000 €). Malgré le mauvais état de conservation de sa garniture en soie XVIII e , une chaise Louis XVI en bois sculpté, mouluré et redoré à dossier plat à la reine, décorée de cannelures et frises de motifs feuillagés stylisés, devrait provoquer elle aussi une belle bataille d'enchères (3 000/5 000 €).
100 000/150 000 € seront nécessaires pour s'emparer des Quatre Saisons , suite de quatre eaux-fortes et aquatintes sur papier (49 x 32,5 cm) de 1987, l'une des quatre épreuves d'artiste signée Jasper Jones. Composition , huile sur toile (60 x 50 cm) signée Willem De Kooning vers 1970, est à décrocher contre 80 000/120 000 €. Rare sur le marché, le Vietnamien Nguyen Van Ro se distingue avec deux panneaux de laque : Le Repiquage du riz et La Récolte du riz (20 x 29 cm à vue), tous deux estimés 10 000/15 000 € et restés dans la descendance de l'acquéreur, ancien directeur de la banque d'Indochine. De la même contrée et de la même collection sont les deux rares robes impériales, vers 1880, l'une en soie rouge brodée de fils d'or et d'argent, l'autre en fils de couleurs sur fond rouge (2 000/5 000 € chaque). De Chine, un très grand tapis (310 x 285 cm) en laine tissée et nouée main d'époque Daoguang (1821-1850), montrant le dragon pentadactyle poursuivant la perle sacrée, changera d'intérieur contre 5 000/10 000 €.
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Deux laques de Nguyen Van Ro
L’engouement pour les laques vietnamiennes ne se démentLire la suite
Le mobilier dans tous ses états... Vous aurez le choix entre un bureau plat Régence toutes faces en placage d'amarante, richement garni de bronzes dorés (12 000/15 000 €), et un buffet de chasse à ressaut central d'époque Transition en acajou, en trois parties et ouvrant à quatre portes en enfilade. Estampillé Jean-François Oeben, qui le livra à une propriété bordelaise, il se disputera à 40 000/60 000 €. Une création récente attirera également le regard : une pièce unique inspirée du cabinet « au perroquet » d'André Charles Boulle, réalisé dans les ateliers d'art Sylvain Bulot, en marqueterie métallique, de verre, résine, laiton, étain et bois précieux et à décor d'oiseau perché, de fleurs et de papillon. Pas moins de 50 000/60 000 € sont attendus pour ce meuble témoin du travail d'un graveur et marqueteur d'exception.
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Oeben s’invite en régions avec un grand buffet
Véritable découverte, ce buffet estampillé Oeben faitLire la suite
La Chine sera la mieux représentée, grâce à près de 160 lots, dont certains proviennent de deux collections. Taillée dans le jade au XIX e siècle, une paire de vases couverts allongés, s'évasant jusqu'à leur épaulement muni d'anses, mêleront les références bouddhiques et celles des lettrés (15 000/20 000 €). Haut en couleur, un faisan du XVIII e siècle, dont la chatoyante porcelaine polychrome est rehaussée d'or, se fera remarquer entre 10 000 et 15 000 €. Exécutées d'après un peintre du IX e siècle, Guanxiu, trois estampes de luohans, en rouleaux verticaux, seront chacune décrochées autour de 2 500 €. Le Japon fermera la marche avec un paravent fleuri du XVII e siècle de style Rimpa (8 000/10 000 €), et un vase en grès d'époque Meiji, orné d'un faucon laqué d'or et d'argent (5 000/6 000 €). Vietnam, Himalaya et Asie du Sud-Est seront également au programme. l'un des plus célèbres peintres de l
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Faisan en porcelaine du XVIIIe siècle
Ce faisan chinois du XVIII e siècle provient d'uneLire la suite
Le père des Trois Mousquetaires est l'unique protagoniste de cette vente, qui disperse un ensemble provenant de la prestigieuse bibliothèque de Geneviève et Jean-Paul Kahn. Ce couple de passionnés a réuni des pièces d’exception, au premier rang desquelles un manuscrit in-8 de l’ Alchimiste dans une reliure de velours de soie vert aux armes du tsar de Russie Nicolas Ier (60 000/80 000 €). Calligraphié par Dumas, l’exemplaire est illustré par les meilleurs artistes romantiques de l’époque. Une édition originale posthume du Grand Dictionnaire de cuisine , exemplaire unique sur parchemin, gagnera une nouvelle bibliothèque moyennant 20 000/25 000 €. Le manuscrit autographe de 1852 de Louis-Philippe et son règne nécessitera quant à lui 15 000/20 000 €.
Giacomo Ceruti ou Pietro Bellotti ? Le débat fait encore rage parmi les spécialistes quant au véritable auteur de l'huile sur toile (213 x 193 cm) Paysans , considérée comme l'un des plus éclatants exemples de l'histoire de la scène de genre entre le XVII e et le XVIII e siècle et accompagnée d'une solide estimation de 150 000/250 000 €. Attention toutefois, classée bien culturel depuis 1963, elle ne pourra quitter le sol italien. Il sera toujours possible de se consoler avec un important polyptique de La Vierge à l'Enfant intronisée avec deux saints, Dieu le Père et l'Annonciation (230 x 185 cm) à la tempera et or sur panneau de peuplier, œuvre inédite de Angiolillo Arcuccio (60 000/80 000 €). Pour 50 000/60 000 €, le choix s'opérera entre une Bacchanale de Salvator Rosa (215 x 166 cm) ou la très caravagesque S alomé avec la tête de saint Jean-Baptiste (117 x 140 cm) de Giovanni Battista Caracciolo, dit Battistello Caracciolo.
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Chef-d’œuvre anonyme de l’art italien
Bien que l’artiste à l’origine de cette compositionLire la suite
Afin de soutenir la production d’opéras récents et leur visibilité sur la scène internationale, cette vente de 166 lots disperse le fonds de la dotation Lefebvre-Vornic pour le renouveau de l’opéra. Côté art, Alighiero e Boetti sera représenté par le diptyque Energia Iniziale de 1986-1987, minutieusement recouvert au stylo bille et au crayon (150 000/200 000 €), ou encore par la broderie monochrome sur textile titrée Le Infinite Possibilita di Esistere , en 1990 (70 000/90 000 €). Ces œuvres côtoieront celles d'Alfredo Jaar, Bertrand Lavier ou encore Edward Paschke. Les représentants du design seront notamment Gio Ponti, Ettore Sottsass, Martin Szekely, mais aussi Yonel Lebovici, dont le petit modèle de la lampe de table "Satellite", produite en édition limitée, sera mise en lumière autour de 8 000 €.
Plusieurs lots dépassent la barre des 50 000 € dans cette vacation munichoise. Parmi eux, citons une paire de plaques dorées aux personnages en corail, originaires de Trapani en Sicile de la seconde moitié du XVII e siècle (55 000/70 000 €), une paire de sculptures en ivoire du XVII e siècle figurant la Vierge Marie et saint Jean l'Evangéliste , attribuée à Johann Balthasar Stockamer de Nuremberg (50 000/70 000 €) ou encore un remarquable médaillier vénitien en noyer et marqueterie de nacre et ivoire du début du XVII e siècle (même prix). Retour à la sculpture, de marbre cette fois, avec une Vierge à l'Enfant due à Artus Quellinus, comparable à celle de l'église Saint-Paul d'Anvers (55 000/65 000 €).
L'essentiel des pièces de cette vente asiatique sera accessible autour de quelques centaines d'euros. Il faudra néanmoins prévoir environ 1 500 € pour un inrô du XVIII e siècle provenant de l'ancienne collection Cartier-Bresson, à cinq cases en laque or, polychromie et incrustations d'aogai teinté vert et violet, et quelque 6 000 € pour une paire de paravents byobu à huit feuilles de l'école Unkoku, à la période Meiji. Des raretés figurent parmi les armes : une courte épée tibétaine du XIX e siècle, dont la poignée est recouverte de galuchat (600/800 €), une dague vietnamienne ou de Chine du Sud, sculptée d'une tête de taotie sur son pommeau, au tournant du XX e siècle (800/1 200 €).
Une vente sur deux jours se prépare à Amiens, voyant défiler de grands bordeaux et bourgognes ainsi que des champagnes ou des vins de Provence ou du Sud-Ouest. 18 000/22 000 € devront être déboursés pour une exceptionnelle bouteille de romanée-conti grand cru 2012 du domaine éponyme. Un double-magnum de petrus 2017 rivalisera, avec une estimation de 15 000/18 000 €. On mentionnera encore un clos Vougeot grand cru de 2001 du domaine Leroy (4 500/5 400 €), avant de conclure ce tour d'horizon dans la vallée du Rhône avec un côte rôtie Côte Brune 1986 du domaine Gentaz Dervieux (2 000/2 400 €).
Dans cette vacation fleuve prévue sur 5 jours et qui verra défiler monnaies et médailles de toutes les époques et de tous les horizons, on retiendra une très rare pièce d'or de 10 ducats frappée à Vienne en 1783 à l'effigie de Jean de Schwarzenberg et espérée 175 000 €. Parmi les autres lots d'importance, une pièce de 10 ducats or de Ferdinand III de Bohême, frappée en 1640, se monnaiera 60 000 €, et une pièce en argent de 12 roubles de Nicolas I er de 1841 partira à 50 000 €. Il y en a pour toutes les bourses, les plus petites estimations tournant autour de 20/25 €.
Tableaux, mobilier et objets d'art, pendules, Extrême-Orient
Les amateurs se réuniront pour cette vente classique, comptant notamment une table d’apparat au riche piétement représentant des sphinges ailées et personnages féminins dans un encadrement de fruits, pampres et putti (4 000/6 000 €), une table de style syrien (800 /1200 €) ou encore une peinture de l'école flamande du XIX e siècle (500/700 €). De nombreux regards seront encore attirés par une pendule en bronze ciselé et doré à décor en ronde bosse d'Hercule appuyé sur un tronc d'arbre, qui pourrait indiquer 1 000/1 200 €.
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Heraklès sur une pendule d’époque Restauration
À Bordeaux, le jeudi 28 septembre , sera présenté ce bel exemple de pendule d’époque Restauration en...Lire la suite
Dispersion ce jour de plusieurs véhicules emblématiques de collection… En prendra la tête une Fiat 124 Spider cabriolet modèle « USA injection » 105 ch, mise en circulation en 1981, à piloter pour 15 000/20 000 €. Suivra un véhicule « sortie de grange » : une Citroën C5 cabriolet de 1922, à restaurer pour 4 000/5 000 €. Plus accessible, à 3 000/5 000 €, s'avancera ensuite une Renault « Vivaquatre » de 14 cv ayant pris la route pour la première fois en 1938. Quant à la Simca Fiat « Balilla » de 1936, on devrait la faire redémarrer moyennant 3 000/4 000 €. La même somme est attendue d'un important lot de pièces détachées, pour la plupart d'origine et de différentes marques, comprenant éléments de carrosserie, phares, carburateurs, arbres de roue, calandres, dynamos, alternateurs…
Pivotante et multifonction – ses quatre cadrans servent de boussole, thermomètre, baromètre, indiquent l'heure et la position calendaire – , une pendulette de bureau en métal argenté de la maison Hermès (3 000/5 000 €) fera remonter le temps jusqu'à l'époque de la photographie primitive, évoquée par un album d'une centaine de clichés pris par dix grands noms de la spécialité, du comte Olympe Aguado à Nadar, en passant par Charles Marville et Gustave Le Gray (12 000/18 000 €). D'autres albums de la famille Coulon seront en lice, aux côtés de nombreux dessins et aquarelles signés par des membres de cette dynastie d'artistes : Henri, Gustave et Alfred. Il s'agit essentiellement de petits formats pris sur le vif, montrant des paysages français et italiens.
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Le photographe Aguado et sa vue imprenable
Ce cliché de la colonne Vendôme est l'oeuvre du comteLire la suite
Boutons – majoritairement de fabrication française –, plaques et livrées, livres, matrices, vaisselle et vitraux, telles sont les catégories permettant de classer les quelque 500 pièces de la collection héraldique de Dominique Perrin. Les fibulationnistes retiendront des souvenirs historiques : deux boutons de Louis XV et un de la maison de Louis XVI, proposés autour de 550 €. Pièce unique, toujours emblématique bien que restaurée, un grand vase en porcelaine dure montre le général chouan Georges Cadoudal sur une face, ses armes d'alliance sur l'autre (50/100 €). Également exceptionnel, un buis gravé d'armes d'alliance sera mis en relation avec une cloche fondue pour le château des ducs de Luynes, à Chateaudun (150/200 €). Une autre aristocratie, celle de la finance, sera évoquée par un habit de livrée aux armes Rothschild, porté vers 1867 (1 000/1 200 €).
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L’héraldique, entre petite et grande histoire
Appartenant à la collection de Dominique Perrin, cetLire la suite
Réalisée suite à succession, cette vente dispersera notamment le contenu d'un appartement du Marais, meublé de manière classique, comme l'illustreront une scène de bataille du XVII e siècle peinte dans l'entourage de Jacques Courtois (1 000/1 500 €) et un Christ à la colonne représenté par un suiveur de Ludovic Carrache, à la même époque (5 000/7 000 €), à placer au-dessus d'une desserte demi-lune en acajou d'époque Louis XVI, estampillée Vassou (500/800 €). Jacques Bouyssou apportera la lumière du bord de mer avec sa toile montrant une scène de chars à voile (600/800 €).
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Bouyssou lève les voiles à Grandchamp
Avec les touches orangées de ces Chars à voile à Grandchamp , admirés par des personnages alignés comme...Lire la suite
Face à un imposant panorama du Caire en 1937, peint dans une lumière dorée par Georges Hanna Sabbagh, et conservé dans la même famille depuis son acquisition auprès de l'artiste (6 000/8 000 €), Pierre Bonnard proposera sa vue nocturne du Boulevard de Clichy, immortalisé trente ans plus tôt (200 000/300 000 €). Attribué au maître du cubisme Henri Laurens, une Femme accroupie , exécutée à la gouache en 1943, dévoilera ses formes sculpturales à la manière d'un bas-relief (autour de 7 000 €), tandis qu'un Chat aux lignes encore plus épurées, tout en courbes caressées par la lumière, a été fondu dans un bronze à patine noire, signé Ferdinand Parpan (5 000/6 000 €). Un cerf et un oiseau accueilleront un personnage pénétrant dans la forêt onirique de Rémi Blanchard. Cette toile de 1992 vient de la succession de ce fondateur du mouvement de la figuration libre (6 000/8 000 €).
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Bonnard et les lumières de Paris
Avec cette scène nocturne, le peintre Pierre BonnardLire la suite
Une toile de Max Ernst, Flowers Against Blue de 1928 (76,2 x 92,7 cm) et appartenant à la série des fleurs-coquillages, initiée la même année, est attendue à 400 000/600 000 $. Le duo français Pierre & Gilles propose deux œuvres : Maison de poupée, Audrey Tautou de 2009 (172,1 x 138,4 cm, 30 000/50 000 $) et Pascaline , 1984 (77,5 x 102,9 cm, 10 000/15 000 $). Un Nu , huile sur toile (59,7 x 49,5 cm) de Milton Avery, peint vers 1936, se négociera 25 000/50 000 $, tandis que Lake George , toile de jeunesse du peintre et photographe de mode Edward Steichen, est attendue à 20 000/30 000 $. L'aritste serbe Milena Pavlovic-Barili se distingue avec Junon et Vulcain , huile sur toile de 1936 estimée 1 000/1 500 $.
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Edward Steichen en nocturne
Connu surtout en tant que photographe de mode, Edward Steichen (1879-1973) fut aussi conservateur du...Lire la suite
Un Max Ernst floral de 1928
Cette œuvre énigmatique et colorée s’inscrit dansLire la suite
Tableaux, mobilier et objets d'art, instruments de musique, arts décoratifs du XXe, sculptures, bronzes, objets de vitrine, horlogerie
Tableaux modernes et contemporains partageront la tête de cette affiche. Parmi les premiers, nous remarquerons une huile sur carton produite vers 1884 par Paul Sérusier alors âgé de 20 ans. Cette Paysanne nettoyant ses cuivres est accompagnée d'un certificat de M. Marcel Guicheteau précisant qu'il s'agit de l'une des premières peintures de l'artiste de la période de Concarneau (10 000/15 000 €). L'œuvre rivalisera au sommet avec une Composition abstraite de Jean Miotte (15 000/20 000 €).
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Jean Miotte, une gestuelle lyrique
Bleu, jaune, orange et noir… à coups de brosse, lesLire la suite
285 lots occupent ce sommaire dédié aux arts du XX e siècle. Les estimations iront de 20 et 10 000 €. Le verrier et créateur de bijoux René Lalique fera l'ouverture avec plusieurs pièces, dont un vase balustre à très large col annulaire en verre teinté rouge grenat, au décor en relief modèle Languedoc – dit aussi Feuilles renversées –, créé le 27 avril 1929 et non repris après 1947 (5 000/8 000 €). La designer Maria Pergay livrera quant à elle une grande table ovale Arc-en-ciel , éditée par la maison Jansen vers 1972, au plateau en verre sandwich insérant deux parties – l'une en acier inox et une autre en cuivre –, acquise au début des années 1970 par une amatrice vivant à Clermont-Ferrand (7 000/10 000 €). Originaire du Puy-de-Dôme, la céramiste Élisabeth Joulia sera présente au travers de huit lots au rang desquels un Vase à la prêle , une bouquetière en grès chamotté de 1978 à négocier à 3 000/5 000 €. Nous conclurons sur une découverte : un panneau en laque et zinc inédit de Line et Claude Malespine, réalisé en 1956 pour un appartement clermontois, avec un décor ésotérique titré Le Divin et Le Cosmos . Prévoir 4 000/8 000 €.
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Une pièce unique de Line et Claude Malespine
Réalisé en 1956 pour un appartement clermontois, ceLire la suite
Les pépites d'un ancien musée des Arômes et du Parfum situé dans la région avignonnaise seront à découvrir. Des contenants comme des instruments de fabrication brilleront de tous leurs feux, à l'image d'un spectaculaire alambic en cuivre jaune martelé du modèle « œuf », avec son serpentin, à envisager à 15 000/20 000 €. Pour 10 000/ 15 000 €, on pourrait lui préférer un alambic du modèle « girafe » en cuivre martelé jaune et rouge ; une somme pour laquelle se disputera aussi un orgue de parfumeur, travail français des années 1930-1950 sous forme de table bureau et étagères, doté de 300 flacons en verre teinté, provenant de Grasse. Au rayon verreries justement, le même tarif sera envisagé pour un ensemble de seize essenciers avec monture en fer forgé, des années 1900. 10 000/12 000 € seront demandés pour une fabrique de parfums miniature, en laiton, cuivre jaune et fer forgé sur table roulant, des années 1930-1950. Un autre alambic se distinguera, celui-ci de la région de Grasse et dit « tête de Maure » en cuivre martelé, à utiliser pour 8 000/12 000 €. 8 000 à 10 000 € récompenseront enfin un bel assortiment de verreries de laboratoire, dont deux pots couverts pour matières premières en cristal teinté bleu de la cristallerie de Saint-Louis.
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Une vente sur le thème du parfum
Après plus de trente-cinq années d’existence, le muséeLire la suite
L’arrière-petit-fils de Victor Hugo, François Hugo, a fait œuvre d'orfèvre et de bijoutier. Le premier déclic a été sa rencontre avec Gabrielle Chanel, qui a lancé sa création de boutons et de parures pour les grands noms de la mode. Le second a été sa rencontre avec André Derain et sa collaboration avec Picasso, qui l'ont amené à créer des bijoux d'artistes, exposés pour la première fois en 1967, aux côtés de compotiers d'argent et de sculptures en or créés pour le maître cubiste. En 95 lots, proposés entre 400 et 50 000 €, l'aventure de l'atelier se dévoile au travers des pièces réalisées en collaboration avec les artistes précités, mais aussi avec Jean Cocteau, Max Ernst et Dorothea Tanning.
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