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Les estimations culminent à 85 00/95 000 € pour un saphir de 8,80 ct du Sri Lanka, d'un bleu vif lumineux. D'une très grande transparence, ce saphir ne présente aucune indication de chauffe. Il est suivi d'un rubis birman naturel non chauffé de 7,49 ct, de couleur rouge, monté sur une bague en or blanc et jaune 18 ct (60 000/80 000 €). Parmi les bagues, citons encore un exemplaire des années 1940 en or blanc 14 ct, ornée de diamants entourant une émeraude de Colombie (55 000/65 000 €). Des formes remarquables se détachent également du lot, notamment un splendide papillon aux ailes déployées en jade néphrite d'un vert intense, un travail daté vers 1880, prisé 8 000/12 000 €, et un bijou en forme d'étoile, signé Théodore Starr, similaire au modèle "Sunburst" de Tiffany & Co (4 000/6 000 €).
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Théodore B. Starr, joaillier à découvrir
L’Allemand Théodore B. Starr (1837-1907) est une signature peu connue en Europe. C’est pourtant une...Lire la suite
La boucle sera bouclée. Cette vente verra la dispersion d'une collection de tableaux modernes dont ses propriétaires en ont acquis une partie en ce même hôtel des ventes de Chambéry durant les dernières décennies. Se distinguera tout particulièrement un paysage de Bord de l'Yonne, soleil du matin par Francis Picabia, à envisager à 30 000/50 000 €. Cette oeuvre a été peinte en 1906, une époque où le fauvisme régnait en maître. Deux artistes majeurs de ce mouvement seront encore présents : Maurice de Vlaminck avec Rue de village au ciel nuageux , une aquarelle prisée 7 000/9 000€, et Emile Othon Friesz avec Saint Malo, le trois-mâts au port près de la cathédrale Saint Vincent à 12 000/15 000 €. On n'oubliera pas non plus Moïse Kisling qui livrera contre 25 000/35 000 € une Jeune femme nue debout datée de 1934. Dans un tout autre style, tourné vers des formes cubisantes, nous mentionnerons une grande toile de 1957 de Claude Venard Arlequin à la cuisse rouge dont on attend 15 000/20 000 €.
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De Toulouse-Lautrec à Picabia
Une importante collection sera dispersée à Chambéry,Lire la suite
Parmi les lots les mieux cotés figureront cinq bouteilles de côte-rôtie Jamet de 1991, évaluées à 5 500/6 000 €, ou encore une bouteille de chartreuse 1878-1903, à 4 500/5 000 €. Citons encore pour les bordeaux un double magnum de haut-brion 2000, estimé 3 000/4 000 €, et un autre de château-latour de la même année, à 2 500/3 000 €.
Des raretés sont en lice parmi les quelque 200 bijoux proposés. L'Orient a inspiré à Van Cleef & Arpels le motif cachemire d'une importante paire de clips bombés, entièrement pavés de diamants jonquille et blancs (50 000/60 000 €), mais aussi le pendentif "lion de Persépolis" accompagné de sa chaîne, réalisé en 1971, en or jaune ajouré, amati et martelé, et cabochon de chrysoprase pour l'œil du fauve (autour de 8 000 €). Un joaillier français a laissé libre cours à sa créativité en imaginant une vanité contemporaine. Sculpture entièrement sertie de diamants et portant une couronne ornée de pierres précieuses, son pendentif en forme de crâne présente l'originalité de se transformer en pipe de narguilé (20 000/25 000 €). Mesurant plus de 10 cm de haut, un bijou grec des années 1970 fera sensation sur un corsage, avec ses pierres gravées à l'imitation de scarabées, agrémentant les volutes striées d'un clip transformable en pendentif (1 500/2 000 €). Dessins, tableaux anciens et modernes, mobilier et objets d'art, seront proposés à la suite des parures.
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Un bijou de «fantaisie»
Chef-d’œuvre de virtuosité, cette pièce unique est due à la créativité d’un joaillier français, auquel...Lire la suite
Le nom du designer belge Jules Wabbes (1919-1974) est cité neuf fois pour cette session dominée par le mobilier du XX e siècle. Sa suspension Nid d’abeille , créée en 1959, un luminaire long de 150 cm, fait de tubes en laiton à sections hexagonales à patine dorée, s’impose comme le lot phare de la vente avec une estimation de 40 000/48 000 €. Le modèle "Osaka", d’une première édition vers 1969, conçu pour l’Exposition universelle d’Osaka en 1970 est, lui, prisé 25 000/28 000 €. 12 000 à 15 000 € sont attendus pour une paire de chauffeuses, modèle "PK20", dessiné vers 1967 par le Danois Kjaerholm. Une autre chauffeuse très célèbre, "Barcelona", de Mies Van der Rohe, éditée vers 1970, attend les offres autour de 5 000/6 000 €.
Dix-huit motos de collection ouvriront la route, une Indian "big chief" de 1948 en tête, avec ses garde-boue flasqués à la ligne caractéristique (32 000/38 000 €). Elle aussi dans une belle livrée bleue, une Porsche 356 roadster de 1960, un modèle B superbement restauré et parfaitement documenté (180 000/200 000 €), se mesurera à une sportive mythique, une Ferrari Testarossa de 1988 n'ayant parcouru que 14 000 kilomètres (110 000/140 000 €). Dans un tout autre style, une Citroën BX4TC, sortie des chaînes de fabrication un an plus tôt, n'affiche que 1 792 km à son compteur. Elle est l'un des 38 exemplaires restants de ce modèle de rallye "série 200" (autour de 75 000 €). Une anglaise du Mans sera également en lice, une aérodynamique Jaguar type D monocoque de 1973, dotée d'une imposante dérive (75 000/95 000 €). Pour les belles lignes, une Stelvio fabriquée par Bugatti en 1934 sera reine (500 000/600 000 €). Due à l'un des plus célèbres carrossiers français, Henri Chapron, un coupé DS 21 "Le Léman" de Citroën, appartenant au même propriétaire depuis quarante-trois ans, changera de mains autour de 210 000 €.
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Bugatti au sommet avec une Stelvio de 1934
Portant le nom du plus haut col routier des AlpesLire la suite
Deux jours seront nécessaires, les lundi 27 et mardi 28, pour disperser les 550 œuvres de Max Agostini (1914-1997) auxquelles s'ajoutent une trentaine d'œuvres de Pierre Cornu (1895-1996) provenant de la liquidation judiciaire de la galerie Martin-Caille Matignon. 100 à 600 , selon les formats, sont attendus des œuvres du premier, très représentatives des thèmes de prédilection : des paysages de campagne baignés de lumière, des plages sur lesquelles jouent des enfants, baignés de lumière, des jardins parsemés de fleurs, des natures mortes, des portraits et des nus féminins à la palette éclatante. D'origine corse, formé aux Beaux-Arts de Paris, l'artiste s'installe dans le village en Creuse en 1958 mais continue à passer une partie de l'année en Provence, où il peint pêcheurs et plages de Marseille et Cassis, les bords de la Durance en été, et les villages alentours. C'est en 1970 qu'il fait la connaissance du fondateur de la galerie Martin-Caille et de celle qui prend sa succession, Janet Greenberg. Elle sera pendant plus de trente ans son plus fidèle soutien, organisant dans la galerie rue du Faubourg-Saint-Honoré, de nombreuses expositions et rétrospectives de Max Agostini. La galerie fermera ses portes au décès de Janet Greenberg, le 25 juillet 2022.
Cette vente se déroulera sur deux jours, dimanche 26 et lundi 27 mars. Commençons par l'artiste Peder Severin Kroyer, dont la vie relève de la tragédie. Né dans un hôpital psychiatrique, d’une mère jugée incapable et d’un père inconnu, il sera confié à sa tante. En 1886, ce Danois de santé fragile passe six semaines en cure à Luchon, dans les Pyrénées, durant lesquelles il dessine plusieurs enfants, dont ce Portrait de Jeanne au pastel sur papier (4 000/6 000 €). À ses côtés ce dimanche aux cimaises seront accrochés un Portrait de femme attribué à Pierre Bonnard (6 000/8 000 €) ou encore un dessin à la plume de Raoul Dufy, à sujet d'Apollon (3 000/5 000 €). Cette feuille a servi d'étude pour un tableau du même nom, reproduit dans le tome 4 du catalogue raisonné de l'œuvre peint de l'artiste par Maurice Lafaille, sous le n° 1577. Le lendemain, la pièce maîtresse est une statue en fer forgé de Miguel Ortiz Berrocal, Albarracín I (Opus 67) , datant de 1962 (10 000/15 000 €).
La haute joaillerie prendra ses quartiers et l'on pourra passer au poignet, en échange de 15 000/25 000 €, un bracelet ruban par Van Cleef & Arpels, du modèle « Ludo-Hexagone » en or jaune, souple, articulé de maillons à décor de nid d'abeilles ponctué de diamants en serti étoilé, des environs de 1935 (poids brut 112,4 g). Une bague jonc en or gris lui succédera à 12 000/15 000 €, semée de trois motifs de marguerite, le centre orné d'un diamant taille ovale de 2,5 ct, épaulé de deux autres de 0,10 ct dans un entourage de diamants brillant pour un poids total de 0,60 ct (poids brut 6,8 g). Une broche en or gris et platine s'accrochera quant à elle moyennant 10 000/12 000 €, sommée d’une émeraude d’environ 11 ct – originaire probablement de Colombie – et sertie de diamants de taille ancienne pour un 1 ct (poids brut 20,25 g)… À moins de choisir, pour le même tarif, une bague en or gris ornée d'un diamant de taille brillant de 1,07 ct, de couleur H et pureté SI1, dans un entourage de diamants ronds et baguette pour 1,50 ct.
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Van Cleef & Arpels
Lors de la vente de bijoux organisée à Rennes le lundi 27 mars , par la maison Rennes Enchères Bretagne OVV...Lire la suite
Débutant avec des almanachs et des livres anciens, cette vente se poursuit l'après-midi avec de l'argenterie (dont plusieurs ménagères de Tétard Frères et Odiot), une pendulette de la maison Breguet, produite en 1924, en argent doré avec entourage en agate, aiguilles ponctuées de roses et lunette en or émaillé bleu pour laquelle 4 000/6 000 € sont demandés. Au rayon des bijoux, prévoyez d'enchérir à 80 000/100 000 € pour emporter une bague en or gris ornée d'un diamant rectangulaire à pans coupés en serti griffe (10,36 ct). Une parenthèse revient à quelques épées d'académicien, avant de se tourner vers les tableaux. 8 000/12 000 € pourraient accueillir une toile de Girolama Pesci, Diane surprise par Actéon , datée 1738, mais aussi un panorama de La Seine à Paris avec le pavillon d'Algérie à l'Exposition universelle, 1889 , signé Albert Lebourg, Albert Marquet plantant quant à lui son chevalet au bord du fleuve, dans l'ouest parisien dans le village de La Frette (vers 1940, 12 000/15 000 €). Le mobilier, essentiellement XIX e et de style, est accompagné d'objets de décoration et de céramiques parmi lesquelles un plat à hors-d'œuvre en pâte tendre de Sèvres, à décor de fleurs et rubans, à fond vert, issu du service offert par Louis XV au roi du Danemark Frédéric V, en 1757 (3 000/5 000 €).
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Porcelaine diplomatique
En 1757, Louis XV offre à Frédéric V, roi du Danemark et de Norvège, un somptueux service en porcelaine...Lire la suite
Les angelots affrontés sont un motif récurrent chez les Froment-Meurice, notamment sur le bracelet de l'Exposition des produits de l'industrie française de 1844, pour lequel François-Désiré obtint une médaille d'or. On le retrouve sur un élément de châtelaine transformé en broche, en argent, vermeil fondu et orné d'une opale ainsi que de perles, créé par le joaillier au milieu du XIX e (4 000/6 000 €). Parmi les autres bijoux en présence, nous mentionnerons un bracelet « Love » de chez Cartier en or jaune (3 500/4 000 €) et un collier art déco en or gris au tour de cou à mailles alternées retenant, entre deux motifs feuillagés, cinq diamants de taille ancienne en chute sertis clos ainsi qu'un autre supplémentaire (1 800/2 200 €).
Cette seconde vacation chartraine se tournera vers les arts asiatiques. Une statuette de Mahakala du royaume de Dali (Yunnan, XII e -XIII e siècle) en bronze laqué or et rouge se négociera ainsi à 8 000/10 000 €, tandis qu'une statuette d'Uma en bronze à patine brune du sud de l'Inde, dans le royaume de Vijayanagar, pourrait partir à 5 000/6 000 €. La sculpture contemporaine française sera quant elle représentée par plusieurs œuvres d'Yvon Cochery dont Écoute , épreuve d'artiste en bronze à patine verte de 2003 numérotée I/IV (3 000/6 000 €). Dans un tout autre domaine, notons la présence également d'une 2CV V6 Citroën Charleston de 1982 affichant 32 571 kilomètres au compteur, cotée 4 000/5 000 €.
Une réduction en marbre de Carrare de l’ Ours blanc de Pompon (150 000/250 000 €) datant de 1923, un Clown à l'huile sur toile, signé Bernard Buffet (200 000/250 000 €), et une gouache et aquarelle de Marc Chagall, intitulée le Peintre amoureux et dédicacée à sa femme « Vava » (150 000/220 000 €), sont les lots phares de cette vente. Le catalogue qui compte 100 entrées, où dominent largement les productions de la fin du XIX e et du XX e siècle, comprend également des œuvres de Botero, Kisling, Boudin, Degas et Dufy.
Une importante tapisserie de verdure, réalisée à Aubusson au XVIII e , à décor de volatiles, animaux exotiques dans un paysage animé et architecturé, dominera les estimations à 8 000/12 000 €. La peinture ancienne sera très présente avec notamment un panneau d'un artiste hollandais du XVII e siècle, de l'atelier de Pieter Lastman, sur le thème de Juda et Tamar : un épisode du livre de la Genèse qui met en lumière un adultère dont résultera par la suite la naissance de David, fondateur de la lignée royale d'Israël. Ce tableau est une variante d'une œuvre du maître aujourd'hui en mains privées. Comptez ici 6 000/8 000 €, tandis que 4 000/6 000 € sont annoncés pour une Scène de bataille de l'école hollandaise du XVIII e siècle, par un suiveur de Johannes Lingelbach. Les accompagneront des meubles et objets d'art anciens ainsi que sculptures, telle une Femme au bain en marbre sous le ciseau en 1881 de Gaetano Mercanti (4 000/6 000 €).
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L’ancêtre de David
Le dimanche 26 mars à Chartres (Ivoire - Galerie de Chartres OVV) est attendu à 6 000/8 000 € ce...Lire la suite
20 000 à 30 000 € sont demandés pour une pièce de Franis Alÿs (né en 1959), un fragment d’huile sur toile, avec son cadre en bois, posé sur un socle. L’œuvre sans titre avait été acquise en 2005 à New York auprès de la galerie Ramis Barquet. D’autres grands noms d’après-guerre suivront, dont Damien Hirst (1965) avec un acrylique sur papier de 2009, prisé 8 000/10 000 € et L’Ours de Pompon par Yves Klein, numéroté 451/999, pour 7 000/9 000 €. Un hommage à Christo par Invader (8 000/10 000 €) et une huile et marqueur sur toile par l’artiste islandais Erró (9 000/13 000 €), cofondateur du mouvement pictural de la figuration narrative en France, complètent cette liste des lots phares.
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L’univers pop d’Erró
Erró, l’un des fondateurs de la figuration narrative,Lire la suite
Cette vente se déroulera sur deux jours, dimanche 26 et lundi 27 mars. Commençons par l'artiste Peder Severin Kroyer, dont la vie relève de la tragédie. Né dans un hôpital psychiatrique, d’une mère jugée incapable et d’un père inconnu, il sera confié à sa tante. En 1886, ce Danois de santé fragile passe six semaines en cure à Luchon, dans les Pyrénées, durant lesquelles il dessine plusieurs enfants, dont ce Portrait de Jeanne au pastel sur papier (4 000/6 000 €). À ses côtés ce dimanche aux cimaises seront accrochés un Portrait de femme , attribué à Pierre Bonnard (6 000/8 000 €), ou encore un dessin à la plume de Raoul Dufy à sujet d'Apollon (3 000/5 000 €). Cette feuille a servi d'étude pour un tableau du même nom, reproduit dans le tome 4 du catalogue raisonné de l'œuvre peint de l'artiste par Maurice Lafaille, sous le n° 1577. Le lendemain, la pièce maîtresse est une statue en fer forgé de Miguel Ortiz Berrocal, Albarracín I (Opus 67) , datant de 1962 (10 000/15 000 €).
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Un fer soudé et rotatif
Les œuvres de l’Espagnol Miguel Berrocal du débutLire la suite
C’est un diamant de taille ancienne d’environ 2 ct, monté sur épingle (2,39 g), qui remporte la plus haute estimation avec 6 000/8 000 € attendus. Il est suivi par un bracelet en or et diamants vers 1920 (3 000/4 000 €), une broche des années 1930 composée de diamants – dont l'un principal de 1 ct environ – montés sur platine et or gris, dans son écrin d’origine (1 500/2 000 €), et une pièce en or de 6 400 reis brésiliens de 1822, frappée à 29 154 exemplaires (700/1500 €). Il sera également possible d’acquérir un ensemble de petits carrés en or, d’un poids total de 101 g (2 000/3 000 €), et une plaque du même métal de 63,34 g (1 500/2 000 €).
Roderic O'Connor sera la tête d'affiche de cette dispersion généraliste et sera évoqué par son bouquet de Soucis peint en 1927 (20 000/30 000 €), aussi bien que par sa correspondance avec les autres artistes de Pont-Aven. Un important ensemble d'ouvrages et de lettres de Samuel Beckett, certaines adressées à sa traductrice et au compositeur Marcel Mihalovici, intéresseront les spécialistes. Ils pointeront également une rareté : un recueil de 29 dessins à l'encre de Chine, mine de plomb et stylo à bille de Joseph Lacasse. Rétrospectifs de son travail, il les a exécutés et commentés vers 1963 (10 000/15 000 €). Ayant appartenu à Lucien Espinasse, un album de dessins exécutés entre 1820 et 1850, certains signés Prince Grégoire Gagarine, L. Lespinasse, Fd de Tascher, est attendu autour de 1 000 €. Les 150 lots suivants seront ceux d'une vente classique, qui mettra en avant une coupe tripode Veuve Duvinage et Alphonse, dont le plateau, monté en bronze doré, s'orne d'un oiseau japonisant posé sur un arbuste, en marqueterie de bois sur fond ivoire (1 500/2 000 €). Une collection de clés sera également proposée.
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Souvenirs de Roderic O’Conor, Breton d'adoption
L’artiste irlandais, qui a rejoint le groupe de Pont-AvenLire la suite
Présentant du mobilier et des objets d'art de la meilleure eau, la vacation permettra d'acquérir pour 6 000/10 000 € une somptueuse console à gibier en bois sculpté et doré, à ceinture à frises de fleurons et agrafes, supportant un tablier à armories : un beau travail de style Louis XIV réalisé à la fin du XIX e siècle. La talonnera, à raison de 6 000/8 000 €, une paire de commodes d'apparat dans le goût de l'ébéniste Gilles Joubert ; en bois de placage et marqueterie, dotées d'une riche ornementation de bronzes ciselés et dorés, il s'agit d'un travail de qualité du Faubourg de la seconde moitié du XX e siècle. Bien du XVIII e siècle quant à lui, estampillé Wolff ainsi que d'une marque des Bâtiments de Compiègne, un secrétaire de l'époque Transition marqueté de branchages fleuris et feuillagés sur fond de bois de rose recevra 5 000 à 8 000 €. Estampillée également mais par Rübestück, ébéniste parisien originaire d'Allemagne, figurera encore une table de trictrac de l'époque Louis XVI, en placage de bois de rose, satiné et amarante (4 000/6 000 €). Plus rare encore, une paire de jardinières enrichies de carreaux de la dynastie Qadjar (1794-1925) sur bronze patiné, datant de 1900 pour le montage, récoltera 3 000/5 000 € (Voir Gazette n°11, page 200).
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Jardinières persanes du XIXe siècle
Au cœur du programme éclectique de la vente du dimanche 26 mars à Blois (Pousse-Cornet OVV) , votre...Lire la suite
Trent-cinq motos de collection prendront la route des enchères avec des estimations comprises entre 150 et 80 000 €. Deux modèles d'en détacheront. Ils sont tous deux de la marque britannique Vincent, qui n'exista que de 1928 à 1959 et produisit les engins les plus rapides de leur temps. 75 000/80 000 € sont annoncés pour une 1330cc Egli Godet de 1968 de couleur noire, avec 5 100 kilomètres au compteur (Voir Gazette n°11, page 199), et 65 000/70 000 € pour une 1200cc moteur HRD de 1968, de même couleur et indiquant 10 000 kilomètres. Les japonaises seront également en piste avec une Honda CB 750 Four K2 de 1974, couleur or candy, à disputer à 14 000/14 500 €. Harley-Davidson jouera une carte plus actuelle avec une Forty Eight 1200 cc de 2013, dont on attend 10 000/12 000 €.
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Une Egli-Vincent de 1968
L’aviateur britannique Howard Raymond Davies est capturé par les Allemands en 1917. Durant sa détention,...Lire la suite
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