Nuages, froid et pluie se sont succédé à Venise, la semaine de vernissage de la 57e Biennale d’art contemporain. Les mendiants étaient dans la rue tandis que les ultrariches se douchaient au champagne dans les palais, claquant des millions sur le marché parallèle de l’art. La chronique livrée par Le Figaro, d’une frénésie...
Nuages, froid et pluie se sont succédé à Venise, la semaine de vernissage de la 57 e Biennale d’art contemporain. Les mendiants étaient dans la rue tandis que les ultrariches se douchaient au champagne dans les palais, claquant des millions sur le marché parallèle de l’art. La chronique livrée par Le Figaro , d’une frénésie ultramondaine, aux réminiscences des Années folles, y paraissait plus superficielle que jamais, laissant même un goût amer d’indécence, au bord d’une mer qui, depuis la dernière Biennale, a englouti…
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