Vente le
27 mars 2019 - 14:00 (CET) -
Salle 4 - Hôtel Drouot - 75009
Les œuvres dispersées prochainement à Drouot ne reviennent pas à une mais à deux des sœurs Lemoine, Marie-Victoire et Marie-Élisabeth, et constituent ainsi la promesse de nouvelles recherches qui vont rendre justice à cette dernière.
Marie-Élisabeth Lemoine (1761-1811), Portrait présumé d’Henri Gabiou, avec une charrette de jeux, jouant à faire des bulles, huile sur toile, rentoilée, signé et daté 1791, 80,5 x 90 cm. Estimation : 15 000/20 000 €
Marie-Élisabeth Lemoine (1761-1811), Portrait présumé d’Henri Gabiou, avec une charrette de jeux, jouant à faire des bulles, huile sur toile, rentoilée, signé et daté 1791, 80,5 x 90 cm. Estimation : 15 000/20 000 €
Quel plaisir d’avoir tort ! Quel bonheur de se tromper lorsque l’on découvre que sa méprise cachait une «nouvelle» femme artiste du XVIII e siècle, dont l’œuvre avait jusqu’alors été confondue avec celle de sa sœur. Le 15 février, l’article publié dans La Gazette n° 6 (voir page 13), précisait que la recherche sur Marie-Victoire Lemoine n’en était toujours qu’à ses balbutiements. Or, les œuvres qui seront dispersées chez De Baecque & Associés, le 27 mars, à Drouot, une fois observées et examinées en détail et non plus d’après photo réservaient bien une surprise de taille. Le petit garçon de Marie-Élisabeth Pour Joseph Baillio auteur de la première étude et du premier «essai de catalogue» de l’œuvre de Marie-Victoire Lemoine comme pour l’autrice de ces lignes, d’après le visuel transmis, le Portrait de petit garçon…
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