Johannes Vermeer (1632-1675)

Au musée du Louvre, douze tableaux de Johannes Vermeer sont présentés aux côtés d’œuvres de ses contemporains, adeptes de la peinture de genre. Une comparaison instructive mais qui tourne en faveur du maître de Delft.

C'est ce qu'a confirmé ce vendredi la National Gallery of Art de Washington, où est conservée la toile. Son auteur reste un mystère. Ayant "une profonde compréhension des techniques de Vermeer", il pourrait s'agir d'un assistant, ce qui remet en cause l'idée que le peintre néerlandais travaillait seul.

Fortement médiatisées, les actions pro-climat prenant pour cibles les musées se poursuivent, aux Pays-Bas cette fois, où un militant de Just Stop Oil a notamment collé son crâne à  La Jeune Fille à la Perle, chef-d'œuvre de Johannes Vermeer conservé au Mauritshuis de La Haye. Ce dernier n'a pas été endommagé.

L'exposition qui ouvrira le 10 février prochain s'annonce comme la plus importante jamais organisée sur Johannes Vermeer. Elle rassemblera au moins 28 tableaux de ce peintre au corpus très réduit, dont les trois œuvres de la Frick Collection, pour la première fois exposées ensemble en dehors de New York.

Si plus aucun billet n’est actuellement disponible à la vente – 450 000 se seraient envolés avant même la fin du premier week-end d’ouverture –, l’exposition du Rijksmuseum mérite tous les efforts pour mettre la main sur l’un de ces précieux sésames.

Il fallait cette exposition orléanaise pour embrasser les 40 ans de la carrière de Johan Creten, la première de cette ampleur dédiée à l’artiste belge. Que ce soit dans l’espace public, avec onze sculptures dont deux créées pour l’occasion (La Grande...

Créé en 2009, le prix d’État néerlandais Johannes Vermeer, doté de 100 000 €, a été attribué à la photographe Rineke Dijkstra. L’artiste franco-algérien Mohamed Bourouissa a reçu de son côté le Deutsche Börse Photography Prize, d'une valeur de 32 000 €, pour son exposition «Free Trade» aux Rencontres d'Arles 2018.

Il fallait débourser 33 480 € le samedi 13 avril à Strasbourg chez l’Hôtel des Ventes des Notaires, pour emporter cette imposante pièce (100 x 50 x 40 cm) estampillée Johan Creten. Dévoilé en page 155 de la Gazette n° 15 (voir l'article Le renouveau de...

Les peintres singuliers sont sur tous les fronts cet automne. Ici, c’est René Rimbert qui sortait du silence.

Le musée parisien étoffe ainsi sa collection de peintures allemandes avec l'œuvre de ce brillant représentant de l'école de Dusseldorf des années 1840, qui s'est illustré dans l'art du portrait et la caricature satirique. Il fut notamment formé à Paris dans l'atelier de Paul Delaroche.