Jacob Van Hulsdonck (1582-1647)

Thème chéri de la maison de joaillerie parisienne, un volatile prêtait ses plumes et son vol gracieux à une broche précieuse.

On voyageait dans le temps, depuis un Empire autrichien fantasmé par le peintre romantique, jusqu’à l’élégance d’une soirée des Années folles.

Une délicate restauration a permis au chef-d’œuvre de Van Eyck de retrouver son éclat et lever certains secrets. Mais le petit panneau, qui fait l’objet d’une exposition au musée du Louvre, a conservé une partie de son mystère.

Une diversité de la meilleure eau a marqué cette première vente de l’année, mêlant la grande ébénisterie aux bronzes de style antique et aux instruments scientifiques.

Grâce à la préemption effectuée par le château de Versailles, cette paire de chaises de Georges Jacob va retrouver le domaine pour lequel elle fut créée.

Une femme nue, un paysage portuaire et une vue provençale constituaient le trio gagnant de la modernité.

Les livres et manuscrits de Max Jacob apparaissent régulièrement aux enchères, ses dessins beaucoup plus rarement. Un catalogue leur est consacré, qui contient des feuilles conservées par la famille de cette figure artistique du XXe siècle. Une première.

Le plus parisien des artistes néerlandais quittait un instant le monde des grandes pour se mettre à hauteur de fillettes.

Peint avenue du Bois-de-Boulogne au milieu des années 1950, ce tableau reprend les codes qui ont fait le succès du plus parisien des artistes hollandais.

Une parure tout indiquée pour cette fin d’année a brillé sur le podium, portant la signature de la maison parisienne, accompagnée de tableaux de Valmier et Pinchon.