L’entrée en service de l’Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit (Aliph) est une bonne nouvelle en une année qui fait ses débuts sous de si sombres auspices. L’Aliph se veut une structure de financement flexible, capable aussi bien de lancer la longue restauration du musée de Mossoul...
L’entrée en service de l’Alliance internationale pour la protection du patrimoine dans les zones en conflit (Aliph) est une bonne nouvelle en une année qui fait ses débuts sous de si sombres auspices. L’Aliph se veut une structure de financement flexible, capable aussi bien de lancer la longue restauration du musée de Mossoul que de soutenir des opérations ponctuelles dans l’urgence. L’équipe, d’une demi-douzaine de personnes à Genève, devrait rester de taille modeste. Les frais de gestion des projets devraient se maintenir…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.