L’Unesco devait souffler à Florence les cinquante bougies de la convention ayant donné naissance, le 16 novembre 1972, à la liste du patrimoine mondial – qui compte désormais plus de mille sites, du Mont-Saint-Michel au Taj Mahal, en passant par Venise et le parc de Kakadu. Longtemps, elle a servi de vitrine à une agence...
L’Unesco devait souffler à Florence les cinquante bougies de la convention ayant donné naissance, le 16 novembre 1972, à la liste du patrimoine mondial – qui compte désormais plus de mille sites, du Mont-Saint-Michel au Taj Mahal, en passant par Venise et le parc de Kakadu. Longtemps, elle a servi de vitrine à une agence des Nations unies affaiblie de toutes parts. Hélas, l’événement a dû être décalé à 2023. Il s’est juste tenu une modeste rencontre à Delphes, passée inaperçue. Même la réunion annuelle du comité du patrimoine mondial, qui gère la liste, n’a pu se tenir cet été. Elle était en effet prévue en Russie, sous la…
com.dsi.gazette.Article : 40691
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.