Un silence qui a déjà poussé des maisons de ventes à refuser l’œuvre, y compris Christie’s qui avait pourtant adjugé 31,2 M$ en 2020 un Rothko dont la provenance mentionnait plusieurs propriétaires anonymes. GJB porte l’action en justice, son avocat, David J. Hoffman, arguant que « les scandales de contrefaçon ont sapé la confiance en des experts et des galeristes autrefois fiables. Les pratiques tolérées il y a quelques années encore ne sont plus viables». Bien que l’identité du collectionneur ne serait pas rendue publique si ETN la dévoilait à GJB, la galerie new-yorkaise s’obstine à faire valoir une clause de confidentialité.