Un héritage, l’expérience l’indique, se paye. Ainsi la famille de Silvio Berlusconi vit-elle avec celui laissé par ce politicien auquel l’Italie a consacré des funérailles nationales, témoignant de l’état de délabrement psychique du pays. Il lui fallut d’abord régler le sort du harem que s’était constitué le sultan déchu,...
Un héritage, l’expérience l’indique, se paye. Ainsi la famille de Silvio Berlusconi vit-elle avec celui laissé par ce politicien auquel l’Italie a consacré des funérailles nationales, témoignant de l’état de délabrement psychique du pays. Il lui fallut d’abord régler le sort du harem que s’était constitué le sultan déchu, lequel entretenait à Milan une demi-douzaine de femmes accortes qu’il pouvait appeler à volonté pour ses parties pas très fines. Les Italiens les appellent les olgettine , du nom de la rue où elles sont logées. Elles bénéficiaient d’un appartement, de bijoux et autres cadeaux, mais…
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