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L’art des fous et la folie de la collection

Publié le , par Sylvain Alliod

L’art brut était en vedette à l’Hôtel Drouot non pas par le biais d’une vente, mais d’un entretien avec Daniel Cordier et d’une table ronde autour de Karel Appel. Résumé.

De gauche à droite, Agathe Snow, Vincent Noce, Franz Wilhelm Kaiser, Choghakate Kazarian,... L’art des fous et la folie de la collection
De gauche à droite, Agathe Snow, Vincent Noce, Franz Wilhelm Kaiser, Choghakate Kazarian, lors de la table ronde qui s’est tenue à Drouot dans le cadre de l’exposition “Œuvres Choisies (moderne et contemporain).”
Samedi dernier, Drouot entrait dans la danse de la semaine contemporaine parisienne, et pas seulement par le classique canal des ventes spécialisées qui s’y déroulent habituellement. En partenariat avec l’Outsider Art Fair, l’hôtel des ventes organisait ce jour-là une rencontre avec une grande figure du XX e  siècle, le galeriste et collectionneur Daniel Cordier, dont des œuvres de la collection étaient exposées au sein de la foire, sous le commissariat d’Antoine Gentil. Un témoignage suivi d’une table ronde autour des rapports de Karel Appel et de l’art brut  outsider art en anglais. À ce propos d’ailleurs, l’une des participantes à la table ronde, Choghakate Kazarian  notamment commissaire de l’exposition «Karel Appel, l’art est une fête !» au musée d’Art moderne de la Ville de Paris du 24 février au 20 août de cette année , a précisé que ce terme apparu aux États-Unis en 1972 recouvre un champ plus large que celui de l’art brut européen ; il se rapproche du folk…
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