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Giuliano Ruffini et Stéphane Breitwieser : l'art du racontar

Publié le , par Vincent Noce
Depuis Maurice Leblanc, la figure du gentleman-cambrioleur exerce une fascination non démentie. À la fiction, nul ne peut faire de reproche. L’exercice est plus délicat quand il se rapproche du journalisme. À l’aulne du réel, la difficulté pour le narrateur est que son personnage apparaît en général bien petit en regard...
  Giuliano Ruffini et Stéphane Breitwieser : l'art du racontar
 
Depuis Maurice Leblanc, la figure du gentleman-cambrioleur exerce une fascination non démentie. À la fiction, nul ne peut faire de reproche. L’exercice est plus délicat quand il se rapproche du journalisme. À l’aulne du réel, la difficulté pour le narrateur est que son personnage apparaît en général bien petit en regard de ses exploits. Bob Wittman, ancien agent du FBI, quand il tient une conférence, a l’habitude d’afficher les photographies de stars ayant personnifié un voleur d’art à l’écran, puis les clichés des malfrats qu’il a arrêtés au cours de sa carrière, des types violents, à l’air minable. L’effet…
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