La 44e édition de la FIAC s’est achevée sur un bel optimisme, avec des achats soutenus et beaucoup d’acheteurs français. État des lieux.
Le marché de l’art constitue un secteur parmi d’autres de l’économie, influencé par la conjoncture tant nationale qu’internationale. Impossible, pour la FIAC, de rivaliser réellement avec le leader du secteur, Art Basel, qu’il s’agisse de son édition suisse ou de ses déclinaisons, à Miami Beach ou à Hong Kong. Sa principale rivale est bien sûr Frieze, la foire londonienne qui, cette année, se trouvait fragilisée par la perspective du Brexit. Alors que, traditionnellement, la…
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