Avec l’arrivée de Galeriste pendant la semaine de la FIAC, le jeu des foires satellites a été cette année profondément rebattu, de nombreux exposants ayant fait le choix de tester de nouveaux salons. Tour d’horizon.
Dans beaucoup de pays, le programme des foires satellites ne fait guère rêver. Paris fait figure d’exception avec un panel d’événements off alléchant et surtout mature, chaque foire s’étant construit année après année une identité propre et clairement identifiée : Asia Now pour la création orientale, Art Élysées pour un art moins avant-gardiste, Paris Internationale pour la découverte, Private Choice pour ses accrochages «comme à la maison», l’Outsider Art Fair pour l’art brut ou les solo shows de l’Urban Art Fair pour le street art. Il n’empêche, 2019 comptait sur un changement de poids : la fin officielle de YIA au Carreau du Temple, remplacée par Galeriste, de Stéphane Corréard. Précédemment quelque peu perdue dans le calendrier de début décembre, écrasé par les courses de Noël et (éventuellement) Miami, l’arrivée de celle-ci allait nécessairement rebattre les cartes. Galeriste crée le lien Cela n’a pas manqué, de nombreux…
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