Cette jeune femme de 26 ans travaille déjà au sein de la régie immobilière Pilet Renaud, propriété de son père Stéphane. Comme tous les membres de sa famille, Diane ne manque ni de passions, ni de projets. Interview.
La Biennale Paris va rendre hommage à votre grand-père, Jean-Paul Barbier-Mueller, disparu en décembre dernier, et à travers lui à toute votre famille de collectionneurs… Oui, il y a aussi mon père, Stéphane, qui s’est passionné pour les monnaies françaises et russes ainsi que pour Vigée Le Brun, mais encore mes deux oncles, Thierry, fou d’art contemporain, et Gabriel, grand amateur d’art japonais et des armures de samouraï. Sans oublier ma grand-mère Monique. Mais sur les onze petits-enfants, je suis la seule de ma génération à collectionner pour l’instant. Ma passion, ce sont les livres anciens. J’ai débuté par le XIX e siècle et maintenant je me consacre au XVII e . Parlez-nous des deux ouvrages de votre collection que vous présenterez à la Biennale. Le premier est un livre de finances de 1708 relié aux armes de la comtesse de Verrue. J’ai été séduite par…
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