Notre calendrier des enchères recense les ventes à venir en France et à l'étranger, triées par date, lieu de vente, maison de ventes et/ou spécialité. Vous pourrez y retrouver les catalogues et accéder directement à la vente grace au bouton "Enchérir". A consulter également à partir de cette page les articles publiés par le magazine en lien avec chaque vente.
Unique, aucun autre modèle avec insigne émaillé n’étant connu dans les collections muséales ou privées, un sabre d'officier de marine ou de commissaire de la marine, un modèle de type « petit Montmorency », datant de 1789-1792, sera convoité autour de 7 000 € en matinée. Sculptée en forme de coque de trois-mâts à quatre ponts dans une noix de corozo, une tabatière du premier Empire accueille une aigle impériale sur son couvercle (700/1 000 €). Deux oiseaux impériaux seront en concurrence l’après-midi : un modèle de drapeau 1815 en bronze doré, dit « des Cent-Jours » (15 000/20 000 €), et l’un des deux rapaces du surtout de Napoléon III, fabriqué par Christofle pour le Palais des Tuileries (15 000/18 000 €). La collection de Paul Dubure et Paulette Secrétant mettra en avant une croix de hérault d’armes de France de 1817-1819, centrée du profil de Louis XVIII sur une face, et des armes de France au revers (4 000/5 000 €). Pièce de maîtrise d’arsenal ou modèle de fonderie, une maquette de tube de canon du XVIII e siècle sera remarquée autour de 3 500 €. Décerné au citoyen Jacques Blondeau, un sabre fabriqué par Boutet illustrera les récompenses décernées par le Directoire (20 000/25 000 €).
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Sauvé des flammes
Du 23 au 26 mai 1871, le palais des Tuileries, siège du pouvoir et résidence de Napoléon III sous le...Lire la suite
Sans surprise ou presque, le premier jour d'enchères s'intitulant « La Face des rois », la figure de Napoléon pourrait susciter quelques belles batailles… Ainsi de son buste en marbre par l'atelier d'Antonio Canova – réalisé d'après un modèle du maître sur commande de 1801 mais qui n'eut pas l'heur de plaire au modèle (60 000/80 000 €), mais aussi d'une toile de l'atelier du baron Gérard représentant L'Empereur Napoléon I er en costume de sacre (40 000/60 000 €). L'original de cette image, livré en 1806 et destiné au ministère des Relations extérieures, n'est pas identifié à ce jour, même si plusieurs institutions françaises en conservent des versions du peintre. Notre tableau, de dimensions relativement modestes (58 x 42 cm), reprend l'une de celles créées par Gérard à fond jaune et tapis vert, comme celle conservée au château de Fontainebleau. La seconde vacation est emmenée par un coffre à bijoux en acajou, orné de médaillons en biscuit de Wedgwood et de plaques d'acier découpées, travail de collaboration de Martin-Guillaume Biennais et Reynard Schey pour l'impératrice Joséphine (60 000/80 000 €), et par un mobilier de salon en acajou et placage d'acajou d'époque Empire, exécuté pour la duchesse de Berry en son château de Rosny-sur-Seine. Composé de onze chaises, treize fauteuils, trois canapés, d'une paire d'écrans à feu et d'une paire de tabourets de pied, ce lot classé monument historique, attribué à François-Honoré-Georges Jacob-Desmalter, est estimé à 40 000/60 000 €.
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Inséparable compagnon de l’Impératrice
On dit que ce coffre à bijoux, à piétement démontable,Lire la suite
Vendredi 26, départ pour La Mer de Glace de Chamonix . Le glacier a été immortalisé par Émile Deyrolle vers 1890. Un témoignage d’exception, imprimé par Monrocq (6 500/13 000 €). Barberis mettra le cap sur Monte San Salvatore, à Lugano, et invitera à prendre place à bord du funiculaire, moyennant 6 000 à 12 000 €. Nous sommes vers 1940, et l’affiche a été produite par S.A. Gia Veladini & Cie.
C'est entre 6 000 et 8 000 € qu'il faudra se manifester pour posséder une séduisante toile du Danois Laurits Tuxen (1853-1927) en 1879, Jeunes pêcheurs jouant aux cartes sur la plage (probablement en Bretagne). 2 000/3 000 € permettront ensuite d'obtenir un portrait de Jeune fille nue en buste, un bras replié sur sa chevelure blonde signé Maria Marevna, tout comme (successivement) quatre aquarelles et encres de Chine de Fernand Léger pour les décors de l'opéra Bolivar , écrit aux États-Unis par Darius Milhaud et inspiré par Simon Bolivar, émancipateur des peuples d'Amérique latine. En écho à l'exposition au musée des Arts décoratifs de Paris sur Henry Cros (jusqu'au 26 mai), une Tête de jeune fille au diadème en pâte de verre polychrome est estimée 800/1 200 €. Pas moins de 60 000/80 000 € seront nécessaires pour apprivoiser un Chat en marbre noir et jaune de Sienne de François-Xavier Lalanne (édition Artcurial vers 1990, 5/8), acquis auprès de l'artiste en 1999, 4 000/6 000 € pour s'offrir une Orchidée en cuivre galvanisé de Claude Lalanne, et 15 000/20 000 € pour décrocher un miroir circulaire Soleil à pointes n° 1 en talosel ambré de Line Vautrin. Dans des genres différents, citons également une icône du Grand martyr saint Pantaléon de Nicomédie (tempera sur bois dans un cadre en vermeil), au poinçon de l'orfèvre moscovite Khlebnikov (10 000/15 000 €), et une coiffeuse en placage d'acajou flammé d'époque Louis XVI attribuée à Levasseur, portant la marque du château de Bellevue, construit dans la plaine de Meudon pour la marquise de Pompadour (même estimation).
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En plein air
Né à Copenhague, où il rendra son dernier souffle, Laurits Tuxen (1853-1927) comptait parmi les personnalités...Lire la suite
Plus de 230 lots de bijoux, montres et accessoires griffés sont en lice, notamment présentés à la requête de l'Agence de gestion et de recouvrement des avoirs saisis et confisqués. Rolex sera représenté par une GMT II « Batman » en acier, lunette tournante graduée en céramique noire et bleue, et cadran noir (8 000/10 000 €), et une Oyster Perpetual Date Just en acier, à cadran bleu et guichet dateur à trois heures (3 000/5 000 €). Chaussures et vêtements de luxe iront de pair avec les bijoux Hermès, à porter avec un « Kelly touch » de 25 cm, une création de 2022 en veau Madame et poignée de crocodile, coloré en « vert rousseau » (6 000/7 000 €). Chanel lui fera concurrence avec un sac à poignée d'agneau, extérieur blanc et intérieur noir (800/1 000 €). Les spécialistes reconnaîtront des sacs « Lady Dior » et « Saddle » de Christian Dior, ou encore « Keepall » de Louis Vuitton, aux côtés de modèles Gucci.
Premier traité tactique au retentissement européen, L’Art des armées navales ou Traité des évolutions navales , dû à Paul Hoste et publié en 1697 (autour de 7 000 €), servirait bien aux capitaines des vaisseaux d’une Bataille navale peinte par Pierre Clément Cossé, au XIX e siècle (8 000/10 000 €). Pour se repérer dans cette vente de marine, vous opterez pour un rare ensemble de trois sphères – terrestre, armillaire et planétaire – fabriquées par Delamarche au tout début du XIX e siècle (14 000/15 000 €), et une batterie de quatre sabliers du XVIII e siècle (2 500/3 000 €). Le souvenir du Shamrock V , un yacht britannique de classe J construit pour la Coupe de l’America, sera évoqué par son diorama (3 000/4 000 €), tandis qu’une maquette rappelle un monstre des mers lancé en 1892, le paquebot à vapeur Glenn Sannox (1 200/1 500 €).
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Caussé à la manœuvre
On pourrait croire ces navires bataillant avec des vagues démontées sur le point de sombrer, comme l’un...Lire la suite
Un seul thème réunira ici les amateurs : la collection Michel Gontier de décorations de l'empire d'Annam et d'insignes de la famille impériale (voir Gazette n° 15, page 12). Notons que ces précieuses plaquettes en or, en argent, en jade et en ivoire sont accompagnées de livres, de photos, d'un sabre de dignitaire offert par l'empereur Ham Nghi en 1885 au général Brière de l'Isle (3 000/3 500 €), ainsi que de diplômes dont celui – imprimé sur vélin – de chevalier de l'ordre de Saint-Louis décerné à Jean-Baptiste Chaigneau, officier de marine au service de l'empereur Gia Long, daté du 14 juillet 1820 (800/1 000 €).
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Collection Michel Gontier
Offert en 1885 au général Brière de l’Isle (1827-1896) par l’empereur Ham Nghi, ce sabre est accompagné...Lire la suite
Une collection de décorations vietnamiennes représentant les 13 empereurs de la dynastie Nguyen
L’ensemble phaléristique de Michel Gontier, uniqueLire la suite
Les vingt premiers coups de marteau récompenseront des lorgnettes XIX e vendues à l'unité ou par petits lots, en laiton, recouvertes de cuir ou de galuchat, de nacre ou d'écaille (est. 50 à 400 €). Poursuivant parmi les objets de charme, un étui à message, parisien (1744-1750) pour la monture en or et attribué au Japon pour la laque, livrera peut-être ses secrets moyennant 2 000/3 000 €. Une coupe en agate arborisée ovale reposant sur une monture en argent, de Jules Wièse, pourrait trouver preneur à 600/800 €. Classique, l'orfèvrerie est européenne, mais aussi du Mexique et de New York, et s'y côtoient pièces de forme, de service et couverts. Un nécessaire d'accouchée en vermeil d'Augsbourg, complet, est annoncé à 20 000/25 000 €, un porte-mouchettes et ses mouchettes en argent de Pierre Bécane à Toulouse (1730-1731), à 6 000/8 000 €, tout comme une écuelle couverte à deux oreilles fondues ciselées de Barthelemy Samson à Toulouse (1776). Quant à une paire de bougeoirs du même datée 1773, on en espère 12 000/15 000 €. C'est au poinçon de Liège et de la seconde moitié du XVIII e siècle que l'on doit le plus beau lot : une soupière et son plat de présentation en argent fondu et repoussé à décor de côtes torses, et prise flanquée d'un artichaud au naturel, attribuée à Jean Adrien Grosse (35 000/40 000 €).
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À l’heure où l’enfant paraît
20 000/25 000 € sont demandés de ce nécessaire d’accouchée (poids 1 264 g) en argent doré (ou vermeil)...Lire la suite
On débutera la dispersion de la bibliothèque du professeur Jacques Labarère. Le régionalisme sera largement abordé lors du premier chapitre, avec notamment un volume in-4° de Notitia utriusque Vasconiae d'Arnaud Oihenart, édité en 1638 à Paris chez Cramoisy, soit l'édition originale de cet ouvrage du « père de l'histoire de la Navarre et de la Gascogne » (1 500/2 000 €). La même estimation est annoncée pour le grand in-4° du Discours de réception de M. le Maréchal Foch et Réponse de M. Raymond Poincaré - Séance de l'académie française du 5 février 1920, publié à Paris en 1920 par Le Livre Contemporain. Exemplaire de la bibliothèque de Louis Barthou, il est accompagné d'envois autographes reçus par celui-ci de Raymond Poincaré et du maréchal Foch, dans une reliure signée Marius Michel.
Quelques dizaines à 3 000/4 000 € seront suffisants ou nécessaires pour s'offrir l'essentiel des pièces de cette dispersion. Comptez toutefois 6 000/8 000 € pour un bracelet en or jaune et argent XIX e , à maillons articulés en chute entièrement sertis de diamants de tailles ancienne et rose, mais aussi pour un collier en or jaune à large maille forçat. Un chronographe Blancpain pour homme en acier noirci et cuir noir, modèle « L-Evolution Super Trofeo » (édition 267/300), indique quant à lui 4 000/6 000 €.
Le Petit Éléphant au repos de Rembrandt Bugatti, une fonte ancienne d’Hébrard, séduira autour de 100 000 €. Il côtoiera Thésée combattant le centaure Biénor, par Barye (6 000/7 000 €), et Marc-Aurèle chevauchant , grâce à un sculpteur italien vers 1800 (2 000/2 000 €). Des classiques s'affichent aux cimaises : L’Adoration des Mages due à un membre de l'atelier de Rubens (3 000/4 000 €), Loth et ses filles, par Jacob de Backer et son atelier (18 000/20 000 €), et Le Jugement de Pâris, par l'atelier de Jean-Marc Nattier (8 000/12 000 €). Côté bijoux, on déboursera environ 7 000 € pour un collier maille brique garni d'une chute de cinq cabochons d'émeraude, alternés de volutes rehaussées de diamants, et sa paire de boucles d'oreilles assortie. Signée par Robert Osmond et Thomas Paté, une pendule « au vase » en bronze doré rythmera la journée autour de 5 000 €, non loin d'une commode Louis XV portant la marque au fer du château de Chanteloup (2 000/3 000 €).
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Bugatti et les éléphants, une histoire d’amour
Emblématiques de son travail, les pachydermes ontLire la suite
Louis Mathieu Verdilhan offrira une vision sombre et expressive du Port de Marseille dans une toile attendue à 10 000/12 000 €, tandis que Gaston La Touche proposera une lumineuse Vue du port de Saint-Tropez et du clocher de Notre-dame de l'Assomption (8 000/9 000 €). On traversera la Méditerranée en compagnie d'Eugène Girardet, dont la toile Le Retour des bergers devant la ville est annoncée à 10 000/15 000 €. Du même, Devant le tombeau d'Absalom, Jérusalem , provenant de la famille de l'artiste, se négociera à 6 000/8 000 €. Les amoureux de l'Italie auront le choix entre une toile de l'école napolitaine du XIX e , Bateaux dans la baie de Naples (8 000/10 000 €), et Gondole à Venise de Félix Ziem (5 000/7 000 €).
Fabriquées d’après un dessin de George Geffroy ou Paul Rodocanachi, douze chaises pliantes en bois peint à l’imitation du bois de rose, dont le piétement en X, relié par une barre d’entrejambe, est terminé par des écrous papillons de bronze, attirera l’attention entre 6 000 et 8 000 €. Créé pour Arturo Lopez, qui s’en servait dans son hôtel particulier de Neuilly et son yacht la Gaviota IV, ce modèle a également pris place dans la galerie d’Hercule de l’hôtel Lambert, à l’époque du baron de Rédé et du baron Guy de Rothschild. Avec ses guirlandes de biscuit immaculé contrastant avec sa panse en terre vernissée noire, un vase balustre couvert d’époque Restauration en imposera dans la même estimation.
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L’originalité dans le néoclassicisme
Spectaculaire avec ses 79 cm de haut, ce vase couvert demeure un mystère, à dévoiler le vendredi 26,...Lire la suite
Deux jours de vente présentent des tableaux modernes et notamment des écoles bretonnes. Le premier jour, signalons une gouache de Pierre de Belay, Concarneau , de 1940, estimée 3 000/3 500 €, mais aussi plusieurs dessins de Mathurin Méheut. 3 000/5 000 € seront à envisager pour une Etude de poulpes au fusain et craie, de même que pour une Etude de pieuvres de même technique. Le port de Cassis sera encore illustré par Julien Gustave Gagliardini dans une toile dont on attend 1 500/2 000 €.
Une fois n'est pas coutume, l'heure est aux souvenirs du rallye Paris-Dakar et aux rallyes moto (voir Gazette n° 15, page 20). Curieux et passionnés, néophytes ou champions en herbe tenteront leur chance sur des combinaisons et autres tenues ayant appartenu notamment à Marc Morales, Thierry Charbonnier, Mickael Pichon, David Vuillemin, David Fretigne, Laurent Charbonnel, David Casteu ou Cédric Soubeyras (est. 100 à 500/800 €). Mais aussi sur des tee-shirts provenant pour certains de l'équipe médicale du Paris-Dakar, des goodies du célèbre rallye, des magazines, des photos, des patchs de sponsors, etc. Les estimations vont de quelques dizaines à quelques centaines d'euros. Voire plus bien sûr si affinités…
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Les motards du rallye Paris-Dakar : l’étoffe des champions
Pour ceux qui en douteraient encore, la découverteLire la suite
Régionalisme et pyrénéisme interviendront lors de cette dispersion débutée la veille. La correspondance pyrénéiste du baron de Saint-Saud, couvrant la fin du XIX e et le début du XX e siècle, est annoncée à 6 000/8 000 € et l'in-4° de la Description des gîtes de minerai, des forges et des Salines des Pyrénées, de Philippe Frédéric de Dietrich (publié à paris en 1786-1789), à 5 000/7 000 €. Un rare album édité à Londres en 1783 composé de seize vues peintes à l'aquatinte par Archibald Robertson, Short Descriptive Account of the Pyrenean part of Bigorre from which Twelve of the Subjects Intended for the Publication are Selected, sera disputé à 3 000/5 000 €.
Huit importantes statues masculines songye de la région de Tshofa, collectées vers 1900, toutes de l'ancienne collection Alix Marchal, pourraient récolter entre 600 et 30 000 €. Parmi les premiers lots se glisse un vase en porcelaine chinoise de la famille rose, à décor des neufs pêches et de la dynastie Qing, attendu autour de 18 000/25 000€. Un plateau de table en marbre et micromosaïque, au décor de bouquet de fleurs, un travail du milieu du XIX e siècle italien attribué à Michaelangelo Barberi (1787-1867), se laissera approcher autour de 10000/15 000 €. Enfin, un exceptionnel olifant, un cor de chasse en ivoire narrant une chasse à l'ours dans un paysage finement sculpté, un travail de la seconde moitié du XIX e siècle, cherche un acquéreur autour de 6 000/10 000 €.
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Sculpture songye de la collection Alix Maréchal
Cette statue masculine songye fait partie d’un ensemble d’objets collectés vers 1900 au Congo belge...Lire la suite
C'est sur un air de musique que l'on débutera ce tour d'horizon. Un archet de violon de François Nicolas Voirin, d'après un modèle de Vuillaume, se brandira à 5 000/7 000 €, tandis qu'un violon allemand de la fin du XVII e par Aegidius Klotz résonnera à 3 000/4 000 €. On pourra encore retenir du côté des objets d'art une paire de plats en porcelaine de la Compagnie des Indes de l'époque Qianlong (XVIII e siècle), destiné au marché hollandais, à décor de la famille rose et motifs d'armoiries de la famille Guillot, entourés de rinceaux feuillagés rocaille et surmonté d'un heaume (4 000/6 000 €)… sans oublier un pied d'athénienne par Henry Cahieux et Ferdinand Barbedienne en bronze, dans le goût de l'antique (2 000/3 000 €). Mentionnons enfin aux cimaises une toile d'un suiveur de Giovanni Benedetto Castiglione, Moïse et les filles de Jethro , dont on attend 1 500/3 000 €.
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Porcelaine aux armoiries des Guillot
De 32 cm de diamètre, cette paire de plats floriformes du XVIII e siècle en porcelaine a été réalisée...Lire la suite
La sculpture dans tous ses états : 5 000/7 000 € seront à envisager pour un panneau en albâtre sculpté en relief par un atelier anglais – dit communément « école de Nottingham » – au dernier quart du XV e siècle, représentant une tête de saint Jean-Baptiste et le Christ en homme de douleurs entouré de saint Pierre et d'un évêque. Auguste Rodin sera également au rendez-vous avec une épreuve fondue en 1943 par Alexis Rudier de La Petite Ombre n°1 . Compter 20 000/30 000 €. Alentour se distigueront par exemple une bague en or gris sertie d'un diamant central de taille brillant d'environ 2,7-3 ct (11 000/13 000 €), une collection de timbres neufs France, des origines à 2022 (3 000/3 500 €), et un Portrait de jeune femme au nœud bleu d'un artiste du XVIII e siècle, d'après une œuvre du peintre vénitien Pietro Rotari (2 000/3 000 €).
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Rodin et l’ombre des damnés : une fonte de 1943
Conçu vers 1885, le modèle de cette Petite ombre étaitLire la suite
Dominant ce programme classique composé de meubles et objets d'art, une aquarelle de Léon Spilliaert (1881-1946), La Crypte de la chapelle du Saint-Sang à Bruges , 1927, est évaluée à 6 000/10 000 €. La relique rapportée de Jérusalem par Léonius de Furnes, aumônier de Thierry d'Alsace, est conservée en ces lieux depuis 1150. L’édifice, élevé au rang de basilique en 1923, abrite une crypte romane, construction la plus ancienne actuellement de Bruges. Une encoignure en placage de frisage de palissandre, estampillée Mathieu Criaerd (1689-1776, reçu maître en 1738), mesurant 92,5 cm de haut par 55, se hissera à 800/1 000 €, tandis que 400/600 € se destineront à une commode en placage à léger ressaut central (82 x 111 x 52 cm), d'époque Transition.
C'est une petite œuvre de Ferdinand Loyen du Puigaudeau, exécutée à l'huile sur toile marouflée sur carton, qui se démarquera de cette vente brestoise. Son sujet, des Bretonnes aux lampions , est l'un des favoris de l'artiste, et pourrait lui valoir de recevoir 8 000/12 000 €. Dans un style proche de Sérusier, Jean Deyrolle représente Trois jeunes femmes devant la rivière , huile sur toile attendue à 6 000/8 000 € environ. C'est justement le peintre nabi que l'on retrouvera ensuite avec la Laveuse au Pouldu peinte vers 1890, à envisager à 80 000/100 000 €. L'éternel paysagiste Henry Moret proposera quant à lui une vue d' Ouessant, pointe de Creac'h, pour 90 000/120 000 € (voir Gazette n° 16, page 125). Datée vers 1909, une aquarelle de Lucien Simon, Bain en Bretagne, pourrait quant à elle partir à 70 000/80 000 € (voir Gazette n° 16, page 24). On pourra encore se laisser séduire par Deux petites Bretonnes peintes par Jean Geoffroy, dit Géo (voir Gazette n° 16, page 128), ou par une toile plusieurs fois exposée au musée de Pont-Aven (1961 et 1987) et à celui des beaux-arts de Vannes en 2001 : il s’agit des Remparts de Vannes , d'Émile Jourdan. Il faut compter 30 000/40 000 € environ pour son acquisition.
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Peindre l’enfance
Jean Geoffroy (1853-1924), trouve son sujet de prédilection, les enfants, dans les années 1870 lorsqu’il...Lire la suite
Ouessant face au large
Enchanteur par beau temps, infernal lors de tempêtes,Lire la suite
Des bretonnes dénudées par le peintre Lucien Simon
Rarement la sacro-sainte liberté de l’artiste auraLire la suite
Dans un sommaire presque entièrement consacré au design, une Alpine 110 1600 de couleur jaune, voiture de 1969, se distinguera avec son estimation de 60 000/80 000 €. Charlotte Perriand se fera par ailleurs très présente 8 000/10 000 € sont annoncés pour une bibliothèque en bois de sa confection et 3 000/4 000 € pour un bureau/placard en bois, d'un modèle réalisé pour la station des Arcs. Son acolyte Le Corbusier proposera contre 8 000/10 000 € une console/bureau en teck indien, provenant d'Ahmedabad, ainsi qu'un escalier dit « Cité radieuse » de 1959, en mélèze et métal laqué noir et provenant d'une unité d'habitation de Briey-en-Forêt. On prévoira encore 2 000/3 000 € pour une Nana gonflable de Niki de Saint Phalle, en plastique sérigraphié sur les deux faces – avec embout de gonflage –, édité en 1968 par Marlo Plastics à Brooklyn.
Les tableaux anciens sont à l'honneur dans cette vacation de mobilier et objets d'art, grâce entre autres à une huile sur toile de Luis Tristán (Tolède, 1586-1624), Christ en croix avec le portrait d'un donateur (165 x 108 cm - Voir Gazette n° 15, page 24), et à une N ature morte aux cho ux, melons, raisins, pommes, prunes, carottes, nèfles et poires sur un entablement de Floris Van Schooten (15 000/20 000 € - Voir Gazette n°16, page 125). Une sculpture attire le regard : la Tête d'un compagnon d'Ulysse , marbre de l'école anglaise néoclassique d'après l'antique, vers 1800, pouvant être attribuée à Richard Westmacott (1775-1856). Estimée 12 000/15 000 €, elle s'inspire du marbre antique conservé dans la collection Charles Townley, aujourd'hui au British Museum.
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Peinture de choses immobiles
Virtuose des natures mortes, le peintre flamand duLire la suite
Un Christ par Luis Tristán, le meilleur élève du Greco
Conservée dans une collection privée de Dordogne,Lire la suite
Rapportés par l’arrière-grand-père de ses propriétaires actuels, à son retour de la campagne du Tonkin en 1886, plusieurs lots d'une propriété de Seine-et-Marne attireront l'attention. S'y trouveront notamment un lit de fumeur d’opium et un autel des ancêtres en palissandre, œuvres de Nam Dinh (2 000/3 000 €). L'Asie sera également représentée par une vasque à poissons chinoise, en porcelaine blanche décorée en rouge de cuivre de deux dragons à cinq griffes, de la période Guangxu (2 000/3 000 €). Vietnamiens et du XX e siècle, deux généraux célestes en bronze laqué brun veilleront autour de 4 000 €. 20 francs suisses et français, et souverains britanniques, comptent parmi une belle série de pièces d'or. Les collectionneurs remarqueront également un cheval de manège et une troïka du XVIII e siècle (1 500/2 000 € chacun,) ainsi qu'un lutrin en fer forgé provenant de l'abbaye de Reigny (1 200/1 500 €).
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Objet du culte
Cette pièce de mobilier liturgique s’élevait au milieu du chœur des églises, afin de recevoir les imposants...Lire la suite
Bijoux, monnaies, argenterie, stylos, bagages et accessoires de mode, montres
Un demi-écu de Flandre à l'effigie de Louis XIV, frappé à Lille en 1688 (1 200/1 600 €), figure au chapitre des monnaies ouvrant cette vacation essentiellement consacrée aux bijoux. Parmi ces derniers, on remarque un collier en or gris retenant un pendentif orné de trois diamants ronds de taille moderne (0,40 à 0,80 ct environ) et d'une émeraude de forme goutte et taille cabochon, d'environ 2,85 ct (2 800/3 500 €), lequel rivalisera avec un collier en or jaune à mailles ajourées, serti de neuf diamants ronds de taille moderne de 0,05 à 0,10 ct (2 200/2 500 €), et un collier de perles de Tahiti, de forme baroque (diam. de l'une 14,2 mm, des autres environ 12 mm) et aux couleurs variées (1 800/2 000 €). Parmi les montres, citons celle pour dame du modèle « Tank » en acier, de Cartier, dans son écrin et évaluée 1 900/2 200 €.
Les diamants ouvriront ces deux jours de ventes marseillaises. 35 000/40 000 € sont annoncés pour une paire de clous d'oreilles en or jaune, agrémentés chacun d'un diamant brillant – l'un pesant 2,38 ct et de couleur G et pureté VS2, l'autre de 2,37 ct, de couleur G et pureté VS1 –, et 30 000 € pour une bague en or gris centrée d'un diamant brillant de 4,06 ct, de couleur E et pureté SI1. Un bracelet en or gris à maillons géométriques articulés, entièrement sertis de diamants brillant et baguette pour 7,50 ct, se négociera quant à lui à 8 500/9 500 €. À moins que vous ne préfériez une paire de clips d'oreilles de la maison Bulgari en or jaune à décor godroné, ornés chacun d'une tourmaline rose ovale calibrant environ 2,80 ct en serti clos ? Compter 4 000/5 000 €.
Instruments scientifiques et de marine, arts d'Asie, verreries, estampes, tableaux, mobilier et objets d'art, céramiques
C'est un brûle-parfums chinois de l'époque Kangxi (1662-1722) qui dominera les estimations. 8 000/10 000 € seront nécessaires pour emporter cette pièce en porcelaine décorée en bleu sous couverte, et en relief, de trois phénix formant médaillons et de trois nuages stylisés alternés sur fond céladon. Compléteront ce sommaire somme toute varié un casque de scaphandrier de la marque Charles Petit, en cuivre et laiton, à cinq hublots, valve latérale et prise tuyau à l'arrière (3 000/4 000 €), ou encore une gravure au burin sur plaque de cuivre d'Albrecht Dürer, Le Grand Cheval, issue d'un tirage ancien (1 000/1 500 €).
Le programme décrit aussi bien des fragments de fresque romaine que du mobilier design. Un large choix où chacun trouvera son bonheur, même un violoniste à la recherche d'un archet tel celui en bois de pernambouc d'Émile Auguste Ouchard (Fils) dans toutes ses parties principales, signé « Cuniot-Hury » sur la baguette au-dessus de la hausse, monté maillechort (47,6 g) et estimé 4 000/6 000 €. Un faune couronné de lierre, buvant dans un canthare et tenant un thyrse, est représenté sur le fragment de fresque romaine (14 x 24 cm), datant du I er -II e siècle. Il faut prévoir entre 6 000 et 10 000 € environ pour ce vestige. Le design danois est illustré par une paire de chauffeuses à haut dossier avec coussin appuie-tête en cuir cognac sur une structure en lames d'acier nickelé courbées, dont le modèle fut créé en 1968 par Poul Kjaerholm et édité par Kold Christensen ; il sera produit ensuite par Fritz Hansen. Son estimation ? 3 000/5 000 €.
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Un travail de Romain
À Plérin le samedi 27 avril seront présentés, avec une estimation à 6 000/8 000 €, ces deux fragments...Lire la suite
Tableaux modernes et contemporains, arts décoratifs du XXe, design, meubles anciens et de style, objets d'art et d'ameublement, céramiques
samedi 27 avril - 14:00 (CEST)
8, rue du docteur Joseph-Audic, zone d'activités du Ténénio - 56001 Vannes
La Grèce est ici à l'honneur avec en premier lieu une sculpture de Georges Braque (1882-1963), figurant Atalante , épreuve en bronze gainé d'or, numérotée 7/8 et signée en creux, présentée sur un socle carré en marbre (42 x 25 cm). Elle reprend le sujet d'une gouache pour les Métamorphoses de Braque . Prévoir 40 000/60 000 €. Vient ensuite une vue de Thessalonique du peintre grec Spyros Vassiliou, à envisager à 8 000/10 000 € (voir Gazette n° 16, page 128). La mer est l'un des grands thèmes de Signac (1863-1935), lui-même yachtman chevronné. Il offre cette aquarelle à un ami pour s'excuser d'avoir été retenu par un défilé de bateaux à Croix-de-Vie (16 000/18 000 €). Dominant le chapitre des meubles avec une évaluation de 5 000/7 000 €, une commode en bois de placage ouvrant en façade à cinq tiroirs sur trois rangs, sans traverse et ornementée de bronzes dorés, travail d'époque Transition, porte une estampille R. Lacroix (Roger Vandercruse La Croix) et « JME » sur le montant de la traverse arrière.
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Thessalonique, port méditerranéen
Spyros Vassiliou (1902-1985), un des peintres grecs les plus importants de l’après-guerre, a célébré...Lire la suite
Tableaux anciens et modernes, sculptures, bronzes, céramiques, argenterie, arts décoratifs du XXe, design, monnaies, bagages et accessoires de mode, vintage, objets d'art et d'ameublement, meubles anciens...
samedi 27 avril - 14:30 (CEST)
80, rue de la Chaussée Romaine - 02100 Saint-Quentin
Luxe, calme et volupté… Telle est l'atmosphère des peintures du Vietnamien Lé Phô, et en particulier de son encre et gouache sur soie représentant une Jeune femme au repos, présentée avec une estimation à hauteur de 100 000/150 000 €. Cette œuvre est passée par la galerie Romanet, tout comme une lithographie rehaussée à la peinture à l'huile du même, Maternité , à envisager à 3 000/5 000 €. On se tournera ensuite vers le mobilier avec une enfilade en chêne, sculpté en nid d'abeilles à l'aide d'une herminette, réalisée par les Artisans de Marolles & de Loir et Cher sous la direction artistique de Jean Touret. 30 000/40 000 € sont attendus à son endroit. Pour les amateurs de design, on retiendra encore une chaise de Jean Dudon du modèle 50/50 , en Plexiglas thermoformé teinté et métal, dont on attend 4 000/5 000 €.
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Lé Phô nous invite à la rêverie
Datée précocement dans la carrière de l’artiste vietnamien,Lire la suite
Le dimanche à Marseille, une Mercedes-Benz 280SL Pagode de 1968 vous attendra sur la ligne de départ. Cette voiture pourrait atteindre les 55 000/65 000 €. Le reste du programme proposera des spécialités plus classiques, comme la peinture moderne avec une nature morte signée Bernard Buffet, Jonquilles et fleurs papillon, de 1969 (15 000/25 000 €), et une huile sur carton d'Auguste Chabaud, Le Marché de Tarascon (7 000/8 000 €). Côté mobilier, un meuble à musique d'Émile Gallé en placage de noyer, marqueté de motifs d'oiseaux saluant le soleil, est annoncé à 3 000/5 000 € et un salon comprenant deux banquettes et quatre fauteuils à décor de figures égyptiennes, issu probablement d'un travail de la maison Parvis, à 6 000/7 000 €.
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Le Sud de Chabaud
Titrée au dos sur une étiquette Chabaud, marché à Tarascon (78 x 107 cm), cette huile sur carton...Lire la suite
Mercedes 280 SL Pagode, une sportive de route
La Mercedes Pagode demeure l’une des voitures emblématiquesLire la suite
La journée s’ouvrira sur une collection de pièces de monnaie en or et argent, présentées à 10 h 30. La plus ancienne fut frappée en 1337, sous le règne de Philippe de Valois, que l’on voit représenté sur un écu d’or « à la chaise » (750/800 €). La même estimation sera requise pour un rare écu d’or « à la croisette » de François I er , émis en 1540. Louis XIV sera le roi de la numismatique, grâce à plusieurs louis d’or en très bel état, dont un superbe modèle « à l’écu de Béarn » remontant à 1690 (9 500/10 000 €). L’après-midi présentera des arts asiatiques, des pièces d’orfèvrerie et des objets de vitrine, ainsi que du mobilier ancien et un important ensemble de meubles de style des ateliers André Mailfert-Amos, accompagnés de tapis.
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Rare et superbe
Provenant d’une même collection, les monnaies feront défiler l’histoire de France à Versailles, le dimanche...Lire la suite
Plus de 580 lots représenteront l’Asie, à différentes époques. Côté Chine, la traditionnelle forme double gourde d’un vase à décor de chauves-souris et de coloquintes dans une végétation sur fond jaune, reposant sur un socle de bronze (5 000/8 000 €), pourra être posée sur un buffet enfilade du XIX e siècle, ouvrant à trois tiroirs et quatre vantaux, dont les montants sont ajourés de dragons dans des rinceaux stylisés (20 000/30 000 €). Inspiré des éléphants placés dans la cour d'honneur du mausolée de l'empereur Tu Dux, à Hué, une paire de stèles évoquera le Vietnam moyennant quelque 10 000 €. Un détour par l’Himalaya permettra d’enchérir sur un bouddha Shakyamuni du XVII e ou XVIII e siècle, esquissant le dhyana mudra (2 000/3 000 €).
La seconde partie d’une garde-robe est dispersée, permettant d’acquérir un important ensemble de pièces griffées Louis Vuitton, Yves Saint Laurent, Berlutti, Christian Dior, Céline, Gucci, Ralph Lauren ou encore Louboutin. Un beau choix de carrés Hermès s’offre aux amatrices, à l’image d’un modèle figurant une collection de bonsaïs (120/150 €). Certains sacs à main Chanel sont à l’état neuf. Il faudra prévoir entre 1 200 et 1 500 € pour un rare modèle à rabat en autruche, de couleur noire, garni d’un fermoir à tourniquet plaqué or sur double « C », et doté d’une chaîne en métal doré tressée de cuir. Des bijoux seront également au programme, aux côtés de briquets Dupont.
Alors qu’Othon Friesz nous montrera le port d' Honfleur en 1947 (5 000/6 000 €), et qu'Alfred Reth donnera sa version d’une Nature morte cubiste à la fenêtre en 1955 (5 000/6 000 €), Jean-Paul Alaux partagera ses « Visions japonaises » avec onze estampes sur vélin, imprimées à Paris en 1920 par Devambez (6 000/8 000 €). Côté sculpture, Jeanne Piffard a immortalisé les Premiers pas de l'agneau dans le bronze, vers 1937 (3 000/5 000 €), et Jean et Joël Martel ont taillé un Moineau dans du bois exotique. Daté « 7-9-30 », il s'agit d'une édition SAS Paris (3 000/ 5 000 €). Face à un matador, les taureaux seront en mauvaise posture sur une assiette de Picasso et Madoura, à décor d'engobes vert et noir sous couverte (7 000/9 000 €).
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Les Martel prennent leur envol
Frères jumeaux, Jean et Joël Martel (1896-1966) ont laissé des sculptures, des fontaines et des monuments...Lire la suite
Du haut de leurs 180 cm, deux Allégories de saintes en bois doré et polychromé, sculptées à Venise à la fin du XVII e siècle, domineront les estimations à 14 000/16 000 €. Le peintre du XIX e siècle Adrien de Boucherville sera présent avec une grande toile, Le Bouffon du roi , dont on attend 12 000/14 000 €. À même hauteur sera présenté un centre de table en bronze doré de l'époque Empire, à décor de coupes et de putti armés d'arcs. Les amateurs de peinture baroque se tourneront quant à eux vers L'Incrédulité de saint Thomas , une grande toile d'un artiste italien de l'entourage de Johann Karl Loth – un peintre bavarois installé à Venise vers 1655, dont l'œuvre s'inspire du ténébrisme du Caravage et des Carrache. Côté peinture moderne, une gouache de Constantin Terechkovitch, La Corrida , s'envisagera à 8 000/10 000 €.
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Un grand format de Boucherville
Le dimanche 28 avril à Chantilly se distinguera ce grand tableau, Le Bouffon du roi , signé Adrien de...Lire la suite
Un programme fort diversifié est offert, allant des bijoux aux objets d'orfèvrerie, comme une pendulette de bureau de forme circulaire ceinturée d'or à filet d'émail blanc, le corps en émail vert anis translucide sur fond or, à motif guilloché et cerclé de perles fines. Travail de Fabergé (1846-1920), elle est attendue autour de 60 000/70 000 €… Une belle entrée en matière pour cette vente intitulée « Carnet de voyage ». On remarque également une œuvre au pastel (55 x 43 cm) de Joan Mitchell (1846-1920), prisée 55 000/60 000 €. Toujours dans le domaine du dessin, un fusain de Pierre-Yves Trémois (1921-2020), Babouin , 1973 (100 x 120 cm), est évalué à 16 000/18 000 €. Une sculpture d’Heinrich Josbt (voir Gazette n° 16, page 124) s'inspirera quant à elle de l'antique. Pour terminer, on retiendra une grille d'intérieur en fer forgé et bronze doré d'Edgar Brandt (1880-1960), ornée d'une joueuse de cymbales et de fleurs de papyrus stylisées (206 x 83,5 cm) : réalisée vers 1925, elle est à rapprocher des grilles de communication réalisées pour le grand salon de l'Hôtel du collectionneur de Ruhlmann, à l'Exposition de Paris en 1925. Il faut compter 20 000/25 000 €.
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L’opéra vu par Lin Fengmian
10 000/15 000 € seront à envisager, le dimanche 28 avril à Louviers , pour cette peinture à l’encre...Lire la suite
Pour célébrer un anniversaire
On pourrait voir en ce bronze une allégorie de victoiresLire la suite
Un lot se distinguera de cet ensemble : une rarissime figure Tangata Moko des Rapa Nui de l'île de Pâques, en bois dur à grain fin toromiro et patine sombre, qui a été sculptée au XVIII e siècle. Pas moins de 70 000/90 000 € sont à envisager pour l'acquisition de cette pièce muséale. On descendra à 6 000/8 000 € pour une grande jardinière et sa sellette de Jérôme Massier, en céramique émaillée bleu à motif de chimères et médaillons, et à 3 000/3 500 € pour une armoire de cabinet en deux parties du XVII e siècle en bois ébonisé, à décor en laiton ciselé et deux portes à poignées de fer, ouvrant sur onze tiroirs de différentes tailles agrémentés de pierres dures. Notons qu'une partie des lots proviennent de la succession Broch d'Hotelans.
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Rare «tangata moko» de l’île de Pâques
Les sculptures «tangata moko» comptent parmi les raresLire la suite
Le mobilier français du second Empire est l'invité phare de cette session : une salle à manger néo-Renaissance en chêne et noyer sculpté, signée Henri Auguste Fourdinois (1830-1907), affiche la plus haute estimation à 40 000 60 000€. Une sculpture en bronze doré par Lucien Wercollier (1908-2002), un travail préparatoire à son monumental Affranchissement , installé au parc thermal de Mondorf les Bains (Luxembourg), est le deuxième lot de cette vente à 30 000/50 000€. Les amateurs des pièces d’Émile Gallé apprécieront l'exceptionnel vase « aux arums » avec son décor de fleurs et feuilles rouge sombre et clair et brun-rouge, vers 1925 (25 000/35 000€). Il faudra encore épingler une commode Transition, attribuée à Nicolas Petit (4 000/6 000€), et une autre commode de cette époque de Jacques Bircklé (1734-1803), pour 3 000/5 000 €.
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Fourdinois, le faste du second Empire
Fondée à Paris en 1835, la maison Fourdinois s’imposeLire la suite
La vente de prestige du trimestre propose des tableaux et sculptures modernes ainsi que de l'art contemporain. Aux côtés des peintures de Raoul Dufy (voir Gazette n° 16, page 20) et d'une épreuve en bronze de l' Ours de François-Xavier Lalanne (voir Gazette n° 16, page 127), on retient une huile sur toile d'Auguste Renoir, figurant Coco de profil (1901-1902). Celle-ci est attendue autour de 40 000 €, tout comme une Composition (1930) de Survage. Même estimation pour la Tête de cheval (vers 1965), bronze à patine vert antique de Diego Giacometti (h. 21 cm), qui figure aux côtés de La Fontaine aux quatre Nanas de Niki de Saint Phalle, résine verte numérotée 39/150 (éditeur Haligon), prisée 15 000/20 000 €. Pour l'art contemporain, on choisira Triangulaire Josié, le roi vert sur fond rosé, acrylique sur toile de Robert Combas (114 x 146 cm), prisé 70 000/90 000 €.
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La sculpture poétique de François-Xavier Lalanne
Dans cet ursidé dressé, qui évoque son célèbre aînéLire la suite
Raoul Dufy, « Le Mozart de la peinture »
Deux huiles sur toile de Raoul Dufy, offertes à leurLire la suite
Le titre de cette vente, « Art & cars », donne le ton d'un programme éclectique qui permettra aussi bien d’acquérir une Chevallier Bol d’or 1100, fabriquée vers 1930 et n’ayant connu que quatre propriétaires (120 000/150 000 €), qu’une Ariès Super 10/50 C2 de 1936 (10 000/15 000 €)… suivies de loin par une voiture à pédales type Devisix, un modèle Renault fabriqué par les établissements Devillaine et Frères (1 800/2 000 €). Stylisant la vitesse et l’aérodynamisme à l’extrême, l’affiche du 31 e Grand Prix de l‘Automobile Club de France, conçue par Raymond Savignac, sera remarquée pour sa rareté et son superbe état (7 000/9 000 €). Un modèle de mascotte en bronze argenté jamais répertorié en prendra le contre-pied : Joanny Durand a sculpté là une femme freinant sa tortue, dont elle tire les rênes (3 000/5 000 €).
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Le graal du Bol d’or
Faire la différence par la tenue de route, plutôt que par la puissance, tel est le credo de Paul Chevallier,...Lire la suite
La maison écoule six catalogues en ligne jusqu'au lundi 29 avril. Parmi les dessins et tableaux, citons une huile attribuée à Gustave Courbet et représentant un paysage d'hiver, prisé 8 000/12 000 CHF. Du côté des estampes et l'art asiatique, on trouve en tête une œuvre sur papier de l'école indienne de Kota, représentant un éléphant (4 000/6 000 CHF). Pour la catégorie design, un ensemble de mobilier USM, en acier chromé et métal laqué gris, domine les lots à 5 000/8 000 CHF. Dans les bijoux, la plus haute estimation revient à des boutons de manchette à motifs de lions (700/900 CHF) et, pour la maroquinerie, 12 000 à 15 000 CHF sont demandés pour un sac à maille souple serti de saphir. Enfin, dans l'argenterie, une ménagère art déco monogrammée W pourrait changer de main à 3 000/5 000 CHF.
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