L.A.S. adressée à Mme DUCHATEAU. [Paris, 21 mars 1911].
3 pages et demie in-8 à l'encre brune, enveloppe conservée.
Il lui confirme sa venue jeudi: «Si j'avais eu un autre engagement je l'aurais détruit pour aller auprès de vous. Si ma présence peut vous consoler de l'affliction qui vous oppresse»...
Il est surchargé de besognes: «Le travail fait ma vie, ma joie, mon repos.
Je vous souhaite de faire comme moi aussi, vous oublierez vos peines.
Lisez. Occupez-vous à des choses qui occuperont votre esprit au-dessus de vous-même. Et puis, il y a Dieu»... Si sa présence peut lui faire du bien, il envisage des visites plus régulières: «Vous pourriez m'être une inspiratrice puisque votre esprit est d'accord avec le mien et puisque vous avez un art aussi, que mon piano est prêt à seconder. Je n'ai que cela à vous dire.
Aimez vos amis et laissez-les vous aimer»...
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