Le Guerchin (1591-1666)

En Italie, l’année 2024 est placée sous le signe du Guerchin. Après la réouverture de la pinacothèque de Cento, sa ville natale (près de Bologne), et avant sa rétrospective annoncée pour l’automne à Rome, Giovanni Francesco Barbieri est à l’honneur à...

Les artistes de la révolution d’Octobre, bientôt exilés en France, mais aussi le Guerchin et ses compositions bibliques, rivalisaient pour les meilleures places du palmarès.

Une diversité de bel aloi a présidé à la dispersion de lots aussi séduisants qu’un dessin du grand maître italien, un pastel de Miró, en passant par une cape d’International de rugby…

Rome est au début du XVIIe siècle le creuset d’une nouvelle peinture religieuse. Élève DES Carrache , le Guerchin offre des œuvres humanistes, comme en témoigne cette œuvre.

Il fut l’un des peintres les plus célèbres du XVIIe siècle. Capable d’une incroyable synthèse de styles, il a laissé des tableaux d’exception, dans lesquels l’expressivité domine.

Les dessins du Guerchin garnissent en quantité les collections des musées européens. Celui-ci s’ajoute ainsi à ce prestigieux ensemble marqué par la spontanéité et la sensibilité de l’artiste italien du XVIIe siècle.

Il était conservé dans une maison de campagne familiale du Suffolk, en Angleterre, depuis 1850 (voir Gazette n° 9 du 2 mars, page 136). L’aïeul l’avait acquis à Rome à cette date. Ce véritable portrait de chien est une redécouverte, dont l’attribution...

En couverture de notre Gazette n° 4, le Saint Pierre en prison de Francesco Barbieri, plus connu sous le nom du «Guerchin», était attendu de pied ferme ce lundi 12 février à Rennes. Une peinture religieuse et sensible de la main d’un maître, une rareté...

Cette figure emblématique du monde de l'art britannique, décrite par la presse nationale comme l'un des plus grands philanthropes du pays, a été administrateur de la National Gallery entre 1985 et 1991. Sa fondation a récemment acquis un chef-d’œuvre perdu du Guerchin, représentant Moïse.

Plutôt que d’esquisser ce que pourraient être les contours d’une supposée école de Bologne, la trentaine de feuilles actuellement présentée aux Beaux-Arts de Paris se propose d’aborder, par le prisme de leur dessin, certaines des figures les plus marquantes...