Henri-Edmond Cross (1856-1910)

Né à Douai, Henri-Edmond Cross a produit l’essentiel de son œuvre autour de Saint-Tropez. Le musée de l’Annonciade réunit une quarantaine de ses paysages néo-impressionnistes, jalons d’une promenade rafraîchissante riche en (re)découvertes.

Deux tableaux ont ici déchaîné les passions : le premier était un exemple parfait de l’art du maître pointilliste, et le second une scène de labeur à la manière postimpressionniste.

Cette œuvre de jeunesse met en lumière une facette méconnue du peintre, précédant son adoption du néo-impressionniste.

Présenté au Salon des artistes indépendants à Paris en 1888, l’année suivante à celui des XX à Bruxelles, ce paysage d’Henri-Edmond Cross témoigne de son goût pour les couleurs du Sud.

Parmi un ensemble de toiles proposé au Havre, ce paysage lumineux et divisionniste d’Henri-Edmond Cross rappelle le rôle de précurseur joué par ce peintre dans l’aventure de l’art moderne.

Henri Manguin et Henri-Edmond Cross capturaient la lumière du Sud dans des peintures colorées et vibrantes.

Protégé du soleil par une treille, Henri-Edmond Cross fait vibrer la lumière dans cette toile annonçant le divisionnisme.

Alberto da Veiga Guignard et Henri-Edmond Cross étaient les ténors de cette vacation dédiée aux modernes.

Cross, Denis, Guillaumin, Muter, ou Gromaire, l’assemblée est fournie, et de qualité.

« Avec son petit-fils Jean-Pierre, nous mettons l’accent sur la découverte de la lumière du Midi par Henri Manguin dans les années 1904-1906 et ses conséquences », précise Raphaël Dupouy, attaché culturel du Lavandou. Une quarantaine d’œuvres axées sur...