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Zona Maco, phare de l’art en Amérique latine

Publié le , par Pierre Naquin et Hugues Cayrade

La 14e édition de la foire mexicaine se déroulait du 5 au 9 février dans la capitale du pays. En dépit du contexte économique difficile, exposants et public de qualité étaient au rendez-vous. Un peu de casse aussi…

Lautario Bianchi (né en 1975), Berghain y el fin de la opacidad como utopia, 201... Zona Maco, phare de l’art en Amérique latine
Lautario Bianchi (né en 1975), Berghain y el fin de la opacidad como utopia, 2019.
Zona Maco réunissait à Mexico cette année quatre salons en un  : outre l’art moderne et contemporain, promu par quelque 120  galeries locales et internationales, les secteurs de la photographie, du design et des antiquités étaient représentés, de même que vingt-six pays, par des exposants venus des Amériques, d’Europe et d’Asie. Malgré des relations tendues avec le voisin états-unien et une situation locale peu enviable –  le prix des carburants a fortement augmenté et le peso a atteint son plus bas niveau mi-janvier  –, le public n’a pas boudé son plaisir face à une telle diversité. À l’heure du premier bilan, organisateurs et exposants affichent une certaine satisfaction au regard de la fréquentation et des ventes réalisées pendant la foire. Celle-ci aura, par ailleurs, été marquée par l’annonce de l’annulation d’Art Basel Hong Kong, qui devait se tenir du 19 au 21 mars, pour cause de coronavirus (voir l'article  Art Basel Hong Kong 2020 n’aura pas lieu de la Gazette   n° 6, page 138) et, dans un registre plus léger, par la bévue d’une critique d’art mexicaine qui, le samedi, sur le stand de la galerie OMR (Mexico), a involontairement…
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