Gazette Drouot logo print

Victory on the Armory

Publié le , par Pierre Naquin

Alors que l’édition 2019 devait célébrer le quart de siècle de l’Armory Show, les derniers jours avant l’ouverture ont été marqués par des problèmes structurels sur un des bâtiments. Incident qui affecta plus ou moins toutes les foires de la ville…

Plastic Bags de Pascale Marthine Tayou, à l’Armory Show 2019.  Victory on the Armory
Plastic Bags de Pascale Marthine Tayou, à l’Armory Show 2019.
Photo Teddy Wolff. Courtesy The Armory Show
Pas de pot. Alors que tout était en place pour une belle fête d’anniversaire, l’attention sur la dernière semaine avant l’ouverture de cette édition de l’Armory Show fut entièrement absorbée par les incidences en cascade des soucis structurels du Pier  92. Les marchands, relogés au Pier  90, s’inquiétaient de ne pas avoir la même visibilité, Volta devait tout simplement annuler  pardon, «repousser»  sa foire, les autres «off» cherchant à récupérer les exposants laissés sur le carreau, quand quelques bonnes âmes offraient un plan  B aux derniers malheureux. Finalement, sur la foire principale, tout s’est passé pour le mieux  ou presque. Les ventes étaient nombreuses dans toutes les gammes de prix. La galerie Wentrup se défaisait de deux pièces de la série «Social Fabric» de Nevin Aladag pour 38  000  $ chacune, de l’une de David Renggli pour 33  000  $, Ach so wert von hier (Kinderlied, 2019) de Gregor Hildebrandt partant pour 42  000  $, tout comme trois éditions de Miriam Böhm et Edinic Sometimes Idyll (2017), de  John McAllister. Benjamin Lee Ritchie Handler, de Nicodim, «triplait la liste d’attente pour les œuvres de Moffat Takadiwa». Il rendait hommage à Arcadia Hartung,…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous