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Thomas Hug, de Genève à Monaco

Publié le , par Pierre Naquin et Hugues Cayrade

Le directeur d’Art Monte-Carlo, dont la 4e édition se déroule du 26 au 28 avril au Grimaldi Forum, plaide en faveur des salons à taille humaine, Gage de qualité et de bonnes relations entre galeristes et collectionneurs.

  Thomas Hug,  de Genève à Monaco
 
Après avoir mis sur orbite Art Genève au début de la décennie, Thomas Hug applique depuis 2016 son modèle de salon d’art cosy à Monaco, sous la bannière de Palexpo, le palais des Congrès de Genève. Ce passionné de musique, venu à l’art contemporain à la faveur d’un long séjour à Berlin   il y a fondé l’enseigne COMA, mêlant expositions et performances musicales  , réunit, du 26 au 28 avril, une cinquantaine de galeries européennes et américaines triées sur le volet. Si l’art déco débarque à la faveur d’un partenariat noué avec le Pavillon des arts et du design (PAD), son directeur est plus que jamais convaincu que l’avenir des foires passe par un format privilégiant qualité et discussions. Il veut d’ailleurs faire du rendez-vous monégasque une sorte de Forum de Davos de l’art contemporain et cherche à cette fin de nouveaux partenaires financiers. Au-delà de ces deux «foires mères» annuelles, Thomas Hug projette d’exporter sa signature   et les meilleures galeries de son panel  à Moscou dès 2020, sans pour autant envisager une fréquence aussi régulière. D’autres endroits «judicieux» pourraient suivre… Comment êtes-vous passé de la musique classique à celui de l’art contemporain…
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