Blockchain, Machine Learning, reconnaissance visuelle, tokenisation, passeport numérique, cryptomonnaie… Autant de termes à maîtriser pour entrer dans le nouveau monde de l’art proposé par le fondateur d’Artstaq. Décryptage.
Il a le visage sérieux des Européens de l’Est. Pourtant, c’est quelqu’un de très accueillant et plein d’humour qui nous présente ses percées et ses avancées. Petit à petit, concept après concept, il nous dévoile les différentes briques de son monde qui révolutionnera ou pas le nôtre. Plongée dans l’univers des technologies numériques, qui promettent de solutionner les problèmes du marché de l’art… et bien davantage. D’où vient votre intérêt pour la chose artistique ? En fait, ça a commencé très tôt. Quand j’étais enfant, mes parents, qui me trouvaient extrêmement doué, m’ont inscrit à l’École d’art du peuple, à Prague, où les classes étaient petites et les professeurs merveilleux. Plus tard, cet apprentissage s’est converti dans un début de carrière dans l’architecture, où j’étais le seul à savoir encore utiliser le papier et le crayon. Bien après, j’ai commencé à collectionner grâce à mon épouse et son cercle d’amis. Aujourd’hui cela ne vous étonnera pas, je m’intéresse tout particulièrement aux plasticiens qui intègrent la technologie, l’architecture…
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