Après un passage en version digitale, la FIAC fait son retour physique et investit un nouvel espace sur le Champ-de-Mars. Les marchands se montrent optimistes, sans oublier les enjeux cruciaux de cette rentrée.
Rokni Haerizadeh, Ramin Haerizadeh et Hesam Rahmanian (Iran), 7 January 2015, 10 rue Nicolas Appert, 2019-2021, acrylique, huile, collage, toile et papier peint sur bâche, 195 x 242 cm. Galerie In Situ. @ Courtesy des artistes et galerie in situ-Fabienne Leclerc-Grand Paris
Rokni Haerizadeh, Ramin Haerizadeh et Hesam Rahmanian (Iran), 7 January 2015, 10 rue Nicolas Appert, 2019-2021, acrylique, huile, collage, toile et papier peint sur bâche, 195 x 242 cm. Galerie In Situ. @ Courtesy des artistes et galerie in situ-Fabienne Leclerc-Grand Paris
C’est « le » rendez-vous de la rentrée parisienne, celui durant lequel collectionneurs et amateurs se retrouvent, ne serait-ce que pour s’imprégner des tendances. Un rituel que la pandémie a suspendu, obligeant la manifestation à se réinventer en mode virtuel, baptisé « FIAC Online Viewing Rooms ». Mais pour sa 47 e édition, la Foire internationale d’art contemporain regagne le monde réel, au moment où elle quitte le Grand Palais, en travaux jusqu’aux jeux Olympiques de 2024, pour en investir un autre – éphémère celui-là –, construit sur le Champ-de Mars. Dans le déménagement, elle perd un quart de sa superficie et nombre d’exposants, passant de 190 en 2019 à quelque 160 aujourd’hui. Parmi les marchands, souffle néanmoins un vent d’optimisme. Et cela pour deux raisons : d’abord, même si le virus rôde toujours, la situation sanitaire paraît sous…
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