«Quand les collectionneurs privés financent l’État islamique.» Par ce titre accrocheur, The Guardian a voulu alerter sur le trafic des antiquités, finançant les atrocités des islamistes. Les drames de cet été, s’il en était besoin, devraient relancer l’attention du marché de l’art envers le problème majeur que lui pose...
« Q uand les collectionneurs privés financent l’État islamique.» Par ce titre accrocheur, The Guardian a voulu alerter sur le trafic des antiquités, finançant les atrocités des islamistes. Les drames de cet été, s’il en était besoin, devraient relancer l’attention du marché de l’art envers le problème majeur que lui pose le blanchiment. Néanmoins, de par le monde, un petit air, encore timide, se fredonne du côté des antiquaires : rien ne prouverait l’ampleur ni même l’existence de ce trafic. Les marchands spécialisés se verraient ainsi bien en victimes d’un plan d’anéantissement,…
com.dsi.gazette.Article : 6859
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