Les accrochages sommaires de Jochen Lempert ont un air de dorica castra, cette suite qui n’a de logique que la répétition d’un même son, de la fin d’une unité au commencement d’une autre. Sa mélodie en sourdine résonnait il y a deux ans au Crédac, à Ivry, et voilà quelques jours encore au Jeu de Paume, le temps du festival...
Les accrochages sommaires de Jochen Lempert ont un air de dorica castra , cette suite qui n’a de logique que la répétition d’un même son, de la fin d’une unité au commencement d’une autre. Sa mélodie en sourdine résonnait il y a deux ans au Crédac, à Ivry, et voilà quelques jours encore au Jeu de Paume, le temps du festival…
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