François Pinault, le «parrain de l’art contemporain». Le décor est planté. Il n’est pas tout à fait celui, «féerique», du monastère de San Giorgio Maggiore qui accueille sa réception à chaque Biennale. Il est celui d’une mafia car les mots ont un sens, et celui-ci en pèse son poids , sur laquelle l’homme d’affaires régnerait...
François Pinault, le «parrain de l’art contemporain». Le décor est planté. Il n’est pas tout à fait celui, «féerique», du monastère de San Giorgio Maggiore qui accueille sa réception à chaque Biennale. Il est celui d’une mafia car les mots ont un sens, et celui-ci en pèse son poids , sur laquelle l’homme d’affaires régnerait en maître. Au point que l’on s’étonne que les invités n’aient pas été photographiés par Challenges , qui publie cet article embarrassant, baisant la bague du «doge de Venise», comme l’intéressé est aussi surnommé. Ce texte, signé David Bensoussan, ressort…
com.dsi.gazette.Article : 4170
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