« Viens voir ma folie d’Assas et tu verras comme la vie d’un homme peut être changée par un pigeonnier, par un arbre », écrit Ossip Zadkine le 11 avril 1928 à son ami, le critique André de Ridder. La maison-atelier, achetée grâce à la vente d’une sculpture, eut un fort impact sur son œuvre : il disait que c’était en regardant...
« Viens voir ma folie d’Assas et tu verras comme la vie d’un homme peut être changée par un pigeonnier, par un arbre », écrit Ossip Zadkine le 11 avril 1928 à son ami, le critique André de Ridder. La maison-atelier, achetée grâce à la vente d’une sculpture, eut un fort impact sur son œuvre : il disait…
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