Ancrée dans la réalité, la Biennale Paris a choisi de faire fi du passé pour aller de l’avant… et écrire une nouvelle page de son histoire.
Toujours sous les verrières du Grand Palais, la Biennale Paris déploie pour sa 31e édition un programme qui entend réveiller la belle endormie. À souligner en premier lieu, un nombre plus important d’exposants, notamment étrangers. L’invité d’honneur est pour la première fois un pays, le Bahreïn, qui participe à l’ambition affichée par l’événement de prouver l’importance et le rayonnement de la place de Paris. Mathias Ary Jan, son président, insiste sur un point essentiel : la nostalgie n’est plus de mise, il faut oublier la Biennale des antiquaires des grandes années, une époque révolue et qui ne renaîtra pas de ses cendres. C’est une nouvelle page qui est en train de s’écrire et c’est celle-ci que l’on doit lire.
Joaquín Sorolla y Bastida (1863-1923), Escalier vers le jardin supérieur, Alcazar de Séville , 1910, huile sur toile, 94,5 x 63 cm (en paire avec Cour des Danses, Alcazar de Séville ). Galerie Ana Chiclana © Joaquin Cortes
Sagesse et jeunesse Les incontournables sont toujours là, et se…
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