Profitant de la vitalité croissante de Beyrouth, la foire part à la conquête d’un marché soumis aux aléas d’une géopolitique complexe.
Tape-à-l’œil, inégale… La critique n’a pas toujours été tendre avec Beirut Art Fair, fondée en 2010 par la Française, libanaise d’adoption, Laure d’Hauteville. Une réputation poisseuse qui a poussé l’équipe de la foire d’art contemporain la même depuis ses débuts à redoubler d’efforts pour redorer son blason. À l’heure de sa 8 e édition, Beirut Art Fair a séparé le bon grain de l’ivraie parmi la cinquantaine d’exposants. Exit la camelote esthétique, exit les enseignes «trop jeunes». Si…
com.dsi.gazette.Article : 6906
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