Joseph Ducreux (1735-1802)

Le thème de l'enfance donnait lieu à ce portrait très sensible, emblématique des dernières années de l’Ancien Régime.

Bien connu pour ses figures aux attitudes surprenantes et expressives, Joseph Ducreux s’adonne dans ce charmant pastel au portrait juvénile. 

Grâce à un marchand mercier, la marqueterie Boulle effectue son grand retour sous le règne de Louis XVI.

Le sculpteur art déco célèbre la pureté des lignes avec cette jeune fille, allégorie de la féminité.

Claude-François Julliot serait le commanditaire de ces deux meubles estampillés Joseph, attestant du renouveau de la marqueterie de cuivre et d’écaille au début de l’époque Louis XVI.

La galerie de la rue de Seine consacre sa prochaine exposition (8 février-2 mars) à l'ébéniste breton, connu pour sa collaboration avec Le Corbusier – qui lui confia la réalisation de certaines de ses sculptures – et son approche renouvelée du mobilier régional.

Militaria et armes à feu paradaient à Toulouse, rangés derrière une arquebuse bavaroise du début du XVIIIe siècle, incrustée de florissants décors animaliers et végétaux.

Moins représentée que celle de la Vierge, la mort de saint Joseph relève d’une iconographie plus intime et agit comme un memento mori porteur d’espérance, attribué ici au peintre Basilio de Santa Cruz Pumacallao.

Si l’ébéniste virtuose en était l’invité vedette, la vacation lyonnaise faisait aussi la part belle à la sculpture de Joseph Chinard et à celle de l’époque médiévale.

Deux œuvres sur papier de Charles-Joseph Natoire rejoignaient l’Olympe qui les a inspirées.