Pâques russe

Il n’y a pas si longtemps, les œufs s’offraient sous le manteau… La chute du régime communiste, s’accompagnant du retour en force des traditions orthodoxes, a cependant fait sortir de la clandestinité ce symbole de résurrection. Béni et accompagné de trois baisers, il est le présent du matin de Pâques. À côté des œufs naturels peints avec soin, des modèles en bois ou en os ont été sculptés dès le XVIIe siècle, bientôt rejoints par des exemplaires en verre, en pierre, en métal précieux ou encore en porcelaine.
Ce dernier matériau a la faveur de la cour impériale, qui a le choix entre un décor simple ou une ornementation plus poussée, représentant un épisode évangélique.
La famille du tsar se réserve quant à elle les chefs-d’œuvre de la maison Fabergé, à la fois trésors d’orfèvrerie et souvenirs personnels.
Les prix sont indiqués frais compris.