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Léon Spilliaert (1881-1946), lumière et solitude

Publié le , par Virginie Huet
Le ciel bas du plat pays s’est perdu quai Anatole-France. Sur des murs café crème infusés de lueurs sourdes, coulent les encres de Léon Spilliaert, flamand jusqu’à l’os. Il était temps : depuis 1981 et la rétrospective que lui consacrait le Grand Palais à l’occasion du centenaire de sa naissance, la France l’avait un peu...
Léon Spilliaert, Femme au bord de l’eau, 1910, encre de Chine, pinceau, crayon de... Léon Spilliaert (1881-1946), lumière et solitude
Léon Spilliaert, Femme au bord de l’eau, 1910, encre de Chine, pinceau, crayon de couleur et pastel sur papier, 47,1 60,2 cm, collection privée.
© Photo Cédric Verhelst
Le ciel bas du plat pays s’est perdu quai Anatole-France. Sur des murs café crème infusés de lueurs sourdes, coulent les encres de Léon Spilliaert, flamand jusqu’à l’os. Il était temps  : depuis 1981 et la rétrospective que lui consacrait le Grand Palais à l’occasion du centenaire de sa naissance, la France l’avait un peu négligé. L’erreur est ici réparée …
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