Comme ses tableaux de figures, ses paysages fascinent par leur étrangeté. La fondation Beyeler, à Bâle, réunit soixante-cinq œuvres du peintre américain.
Si on pouvait le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de peindre», disait Edward Hopper (1882-1967), peintre du silence dont chaque image, si simple en apparence, est un mystère. La plupart des expositions lui ayant été consacrées jusqu’ici – notamment la rétrospective organisée au Grand Palais, à Paris, à l’hiver 2012 – s’intéressaient principalement à ses tableaux de figures, solitaires et mélancoliques. À l’exception de quelques toiles où apparaissent des personnages – la femme en robe légère se tenant sur le pas de…
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