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Le mystère Hopper à la fondation Beyeler

Publié le , par Valentin Grivet

Comme ses tableaux de figures, ses paysages fascinent par leur étrangeté. La fondation Beyeler, à Bâle, réunit soixante-cinq œuvres du peintre américain.

Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 x 102,3 cm (détail).... Le mystère Hopper à la fondation Beyeler
Edward Hopper, Cape Cod Morning, 1950, huile sur toile, 86,7 102,3 cm (détail). Washington, Smithsonian American Art Museum, don de la Sara Roby Foundation.
© Heirs of Josephine Hopper/2019, ProLitteris, Zurich. Photo : Smithsonian American Art Museum, Gene Young
Si on pouvait le dire avec des mots, il n’y aurait aucune raison de peindre», disait Edward Hopper  (1882-1967), peintre du silence dont chaque image, si simple en apparence, est un mystère. La plupart des expositions lui ayant été consacrées jusqu’ici – notamment la rétrospective organisée au Grand  Palais, à Paris, à l’hiver  2012 – s’intéressaient principalement à ses tableaux de figures, solitaires et mélancoliques. À  l’exception de quelques toiles où apparaissent des personnages – la femme en robe légère se tenant sur le pas de…
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