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Le langage des fleurs selon Bosschaert le Vieux

Résultat 3 307 800 EUR
Publié le , par Anne Doridou-Heim
Vente le 19 juin 2019 - 15:00 (CEST) - Salle 9 - Hôtel Drouot - 75009

Avec Bosschaert le Vieux, la nature morte hollandaise de fleurs acquérait ses premières lettres de noblesse ; ces fleurs coupées en attestent un peu plus encore.

Ambrosius Bosschaert le Vieux (1573-1621), Fleurs coupées dans un römer posé sur... Le langage des fleurs selon Bosschaert le Vieux
Ambrosius Bosschaert le Vieux (1573-1621), Fleurs coupées dans un römer posé sur un entablement sur fond de paysage, huile sur panneau, 29,2 19,4 cm.
Adjugé : 3 307 800 
L’Événement  Bosschaert de la Gazette du 7  juin l’avait suggéré. Mercredi  19 juin, le bouquet de Fleurs coupées dans un römer posé sur un entablement sur fond de paysage est devenu, à 3  307  800  €, la meilleure enchère de ce premier semestre à Drouot. Le petit panneau du maître flamand du genre, Ambrosius Bosschaert le  Vieux (1573-1621), emportait également un record français dans ses effluves parfumés (source Artnet). Il devançait la nature morte aux roses, vendue chez Sotheby’s à Londres le 10  juillet 2002 à 2  907  780  €, peinte également sur un fond de paysage, mais s’encadrant dans une fenêtre ogivale. Or, si le corpus…
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