La légitimité, si elle fait défaut, peut toujours se construire. C’est ainsi qu’a procédé le propriétaire d’une collection de portraits qu’Artcurial s’apprête à disperser en février. Cet amateur a pris pour coutume d’acheter à prix modique des portraits anonymes de l’Ancien Régime dans des ventes courantes, à Drouot notamment,...
La légitimité, si elle fait défaut, peut toujours se construire. C’est ainsi qu’a procédé le propriétaire d’une collection de portraits qu’Artcurial s’apprête à disperser en février. Cet amateur a pris pour coutume d’acheter à prix modique des portraits anonymes de l’Ancien Régime dans des ventes courantes, à Drouot notamment, et de tenter avec plus ou moins de succès d’en retrouver les auteurs et les personnages. Ce passe-temps est longtemps resté privé. Il est sorti de l’ombre il y a deux ans, quand ce collectionneur, qui s’appelle Jean-Jacques Petit, a exposé au musée Lambinet de…
com.dsi.gazette.Article : 31190
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