Gazette Drouot logo print

La culture laissée sans voix

Publié le , par Vincent Noce
Il y avait fatigue dans les esprits… l’on n’avait obtenu qu’une sorte de confusion dont on avait besoin de sortir… la société appelait une puissance éclairée.» Ce commentaire ne concerne pas Emmanuel Macron au lendemain de son triomphe électoral, mais le Bonaparte de retour des campagnes d’Italie. Il est de la plume de...
  La culture laissée sans voix
 
Il y avait fatigue dans les esprits… l’on n’avait obtenu qu’une sorte de confusion dont on avait besoin de sortir… la société appelait une puissance éclairée.» Ce commentaire ne concerne pas Emmanuel Macron au lendemain de son triomphe électoral, mais le Bonaparte de retour des campagnes d’Italie. Il est de la plume de Baptiste Capefigue, qui rédige en 1839 l’histoire de la consolidation du pouvoir dont s’est emparé un jeune homme de 30 ans, en bénéficiant de l’appui de la finance. Pourtant peu suspect de sympathie envers l’Empire, l’auteur…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.
Pour découvrir la suite, Abonnez-vous
Gazette Drouot logo
Déja abonné ?
Identifiez-vous