Pour paraphraser assez librement Sénèque, pour qu’une parole soit fiable, toute chose doit être dans l’état qui a été promis. Deux récentes décisions de Justice conduisent à s’interroger sur les relations de confiance que les amateurs sont en droit d’attendre du marché de l’art. Le 20 octobre, la cour d’appel de Lyon a...
Pour paraphraser assez librement Sénèque, pour qu’une parole soit fiable, toute chose doit être dans l’état qui a été promis. Deux récentes décisions de Justice conduisent à s’interroger sur les relations de confiance que les amateurs sont en droit d’attendre du marché de l’art. Le 20 octobre, la cour d’appel de Lyon a débouté un collectionneur qui avait acquis en 2013 de la galerie des Tuiliers une grande toile d’un de ses artistes, Wang Yan Cheng, pour 85 000 €. Après la vente, il apprit que cinq mois plus tôt, elle était restée invendue chez Christie’s Hong Kong, n’ayant pas atteint le…
com.dsi.gazette.Article : 19467
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