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L’audace de Marie Guillemine dans un sujet rarissime. Une redécouverte

Publié le , par Carole Blumenfeld

Si le Portrait d’une femme noire de Madame Benoist compte aujourd’hui parmi les œuvres les plus célébrées du début du XIXe siècle, Les Adieux de Psyché à sa famille n’étaient pas réapparus depuis le Salon de 1791.

Marie Guillemine Benoist (1768-1826), Les Adieux de Psyché à sa famille, huile sur... L’audace de Marie Guillemine dans un sujet rarissime. Une redécouverte

Marie Guillemine Benoist (1768-1826), Les Adieux de Psyché à sa famille, huile sur toile, 111 145 cm.
Estimation : 40 000/60 000 

Le parcours d’une femme artiste n’était point une sinécure au XVIII e   siècle ni au début du XIX e d’ailleurs  ! Passe encore que le surintendant des Bâtiments du roi ait provoqué un esclandre sous prétexte que la fréquentation de l’atelier de David aurait été dommageable pour la vertu des sœurs Laville-Leroux… Chaussard consacra à Marie Guillemine  un texte plein d’indiscrétions dans le Pausanias français…
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