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Fine Arts Paris à l’heure du digital

Publié le , par Anne Doridou-Heim

Une nécessité anticipée et assumée par les organisateurs de Fine Arts Paris car en l’absence de contact physique le virtuel est le seul espace de dialogue restant.

Auguste Clésinger (1814-1883), Buste de Bacchante, marbre teinté, inscription au... Fine Arts Paris à l’heure du digital
Auguste Clésinger (1814-1883), Buste de Bacchante, marbre teinté, inscription au dos "2ème étude", h. 70 cm. Galerie Stuart Lochhead, Londres.
© Galerie Stuart Lochhead.
Comme en mars, ils ont été les derniers à vouloir y croire. Tout avait été réuni pour que cette édition soit un grand cru  : un nouveau lieu  – une structure éphémère installée dans la cour du Dôme des Invalides  – susceptible d’accueillir plus de galeries, une riche programmation pour la Semaine des beaux-arts et le traditionnel colloque scientifique… Mais l’actualité de la pandémie les a rattrapés  ; avec l’annonce du nouveau confinement, les organisateurs de Fine Arts Paris ont dû une nouvelle fois revoir leurs plans et s’adapter. Déjà en septembre, ils avaient été contraints de réduire la voilure, de prévoir de se recentrer sur le palais Brongniart, plus intime, et d’y accueillir quarante galeries seulement. Prévoyants, en parallèle épaulés par GL  Events, le gestionnaire du site de l’ancienne Bourse, ils avaient travaillé à lancer un dispositif virtuel présentant les œuvres visibles au salon, ainsi que celles des exposants…
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