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Cote : des cheminées crépitent

Publié le , par La Gazette Drouot

Quoi de mieux qu’un hiver au coin du feu ? Voici de quoi les embellir.

115 000 € Antoine-André Ravrio (1759-1814, attribué à), Thomas Hope (1769-1831, d’après),... Cote : des cheminées crépitent
115 000 €
Antoine-André Ravrio (1759-1814, attribué à), Thomas Hope (1769-1831, d’après), Mesnil (maître horloger, pendule à la figure d’Isis, Paris, vers 1805-1810, marbre, bronzes dorés et patinés, 53,5 x 28,3 x 20 cm. Hôtel Le Bristol, 17 décembre 2012. Kohn Marc-Arthur OVV.
Ils ont remplacé les braseros en métal qui chauffaient les pièces depuis leur centre, par des braises incandescentes dont la fumée induite s’échappait par un simple orifice dans le toit. Les manteaux de cheminée sont en général, dès leur apparition entre les XIe et XIIe siècles, faits de pierre, dont la qualité dépend des régions : granit en Bretagne, grès en Alsace... Le marbre devient, au XVIIe siècle, le matériau privilégié…
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