Un an après son inauguration, la Cité internationale de la tapisserie poursuit son soutien à la création avec Tolkien en carte maîtresse, sans perdre de vue l’enrichissement de son parcours muséal.
Pari réussi ! Avec quelque 58 000 visiteurs accueillis depuis son ouverture il y a un an venus de Paris et ses environs, de la région d’Aubusson, mais également de Grande-Bretagne et d’Allemagne , la Cité internationale de la tapisserie a dépassé ses objectifs. Un succès qu’Emmanuel Gérard, directeur de l’institution, compte bien entériner, grâce à la mise en valeur d’un patrimoine dépassant le cadre muséal. L’art de la tapisserie est bien vivant, et il s’emploie à le montrer. Aubusson tisse Tolkien Ainsi la Cité s’associe-t-elle à la notoriété de J. R. R. Tolkien (1892-1973). De quoi renforcer l’audience internationale d’Aubusson, la communauté de l’anneau comptant des millions d’admirateurs. Loin de toute exploitation commerciale de l’épopée au succès planétaire, il s’agit de mettre en valeur les œuvres méconnues de Tolkien : ses dessins illustrant ses récits, conservés à la Bodleian Library d’Oxford, seront transposés en tissages. Christopher Tolkien, le fils de l’auteur, et son épouse Baillie se sont enthousiasmés pour le projet, la découverte d’un échantillon test achevant de les persuader que la tapisserie est le support adéquat pour s’immerger dans…
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