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Au bonheur de Jean-Baptiste Mallet à Grasse

Publié le , par Sylvie Blin

À Grasse, la première rétrospective de l’enfant du pays remet en lumière un peintre méconnu et talentueux, précieux témoin d’une époque troublée et d’une société en pleine mutation.

Jean-Baptiste Mallet, La Somnambule, vers 1815, huile sur toile, 27 x 21,5 cm, Grasse,... Au bonheur de Jean-Baptiste Mallet à Grasse
Jean-Baptiste Mallet, La Somnambule, vers 1815, huile sur toile, 27 21,5 cm, Grasse, musée Jean-Honoré Fragonard, collection Hélène et Jean-François Costa.
© Fragonard Parfumeur
Les Goncourt ne voyaient en lui que «le dernier représentant de la gouache, de cet art tout XVIII e   siècle, et qui ne survécut pas à la monarchie», achevant ainsi de discréditer un artiste mal connu. Si ce n'est de quelques amateurs dont Jean-François Costa, qui avait rassemblé une trentaine de ses œuvres, aujourd’hui présentées au musée Jean-Honoré Fragonard. Il était donc temps de réhabiliter Jean-Baptiste Mallet  (1759-1835), peintre grassois, élève de Simon Julien à Toulon et ami de Pierre-Paul Prud’hon. Dans la continuité de la monographie qui lui a été consacrée…
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