Il semble que la représentation du cirque apporte à l’estampe japonaise un dynamisme, une forme d’animation fiévreuse inédite, ainsi qu’un chromatisme plus acidulé : autant de dimensions auxquelles le regard européen, plus attaché à l’esthétique classique du paysage ou des intérieurs, est moins habitué. Au XIXe siècle,...
Utagawa Kunisada II (1823-1880), Hayatake Torakichi d’Osaka, 1857, collection J.Y. et G. Borg (détail). Photo : Yohann Deslandes
Utagawa Kunisada II (1823-1880), Hayatake Torakichi d’Osaka, 1857, collection J.Y. et G. Borg (détail). Photo : Yohann Deslandes
Il semble que la représentation du cirque apporte à l’estampe japonaise un dynamisme, une forme d’animation fiévreuse inédite, ainsi qu’un chromatisme plus acidulé : autant de dimensions auxquelles le regard européen, plus attaché à l’esthétique classique du paysage ou des intérieurs, est moins…
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