« Mon pauvre cœur est un hibou », écrivait René Perrot. L’artiste avait alors le souvenir de cette pratique qui consistait à clouer les rapaces nocturnes sur les portes des granges pour repousser le mauvais sort. Ce vers d’Apollinaire donne aussi le ton et le titre de l’exposition. À la fois portrait sensible et monographie...
« Mon pauvre cœur est un hibou », écrivait René Perrot. L’artiste avait alors le souvenir de cette pratique qui consistait à clouer les rapaces nocturnes sur les portes des granges pour repousser le mauvais sort. Ce vers d’Apollinaire donne aussi le ton et le titre de l’exposition. À la fois portrait sensible et monographie…
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