Alors que Paris prend de plus en plus d’ampleur, Frieze London et Frieze Masters ont bénéficié d’une forte fréquentation internationale malgré un contexte mondial compliqué.
Il fut un temps où les galeries françaises se devaient d’ouvrir des antennes à Londres, place forte du marché dans l’Union européenne. L’époque est révolue. La plupart des Français ont fermé leurs succursales outre-Manche. Aujourd’hui, ce sont les méga-galeries qui ouvrent des espaces dans la Ville lumière, de Zwirner à Hauser & Wirth ou Gagosian, en passant tout récemment par Modern Art — l’une des meilleures enseignes londoniennes — , alors que tous les regards se tournent vers Paris+ par Art Basel. Toutefois, Londres n’est pas pour autant reléguée au rang de place mineure du marché de l’art. Loin de là ! Incontestablement, la ville reste un haut-lieu de la finance, à en juger par le ballet des Bentley et autres limousines devant Regent’s Park, l’écrin de verdure accueillant Frieze London, Frieze Masters…
Cet article est réservé aux abonnés
Il vous reste 85% à lire.