Ventes à venir

Les quatre jours de vente débutent le mercredi 1 er mai avec une session bijoux et montres. Un diamant brillant, d'environ 5,59 ct (J VVS) et pesant 4,3 g, triomphera à partir de 55 000 CHF. Un autre diamant d'environ 2 ct (G,VVS 2), monté sur une bague en or blanc 18 ct, se négociera à partir de 35 000 CHF. Une Rolex pour hommes, Oyster Perpetual Daytona, un modèle automatique de 1990 avec un bracelet en or 18 ct, se laissera approcher autour de 48 000 CHF. Toujours pour les montres hommes, une Overseas chronograph chez Vacheron, de 2016, au mécanisme automatique et en acier, est à guetter à partir de 24 000 CHF.

Deuxième jour des ventes le jeudi 2 mai, avec des estampes et des multiples dominés par une Marylin Monroe d'Andy Warhol, numérotée 23/250 et datée de 1967. Elle est estimée 32 000 CHF. Pop art encore dans la même catégorie avec une lithographie en couleur Crying Girl de Roy Lichtenstein, de 1963, qui pourrait s'adjuger à 14 000 CHF.

De belles batailles d'enchères devraient ponctuer la vente de la collection Jean-Paul Chazal d'art africain. Ainsi d'un masque singe ngnon ou sula bamana du Mali ayant fait partie de la collection Pierre Harter (1928-1991), pour lequel 300 000/500 000 € sont espérés, d'un cimier ciwara (Bamana, Mali) ayant appartenu au docteur Stephen Chauvet et à Maurice Ratton (40 000/60 000 €), d'un masque dan (Côte d'Ivoire) acquis d'Hélène Kamer en 1974 (50 000/70 000 €), ou d'un cimier de masque elek (Baga, République de Guinée), qui pourrait nécessiter 80 000/120 000 €.

Cette vente verra la dispersion du fonds d'atelier Philippe Albin de Buncey (1905-1978), artiste méconnu de la période art déco, dessinateur et sculpteur animalier français. Ayant débuté comme élève d’Édouard Navellier avant de collaborer dans l’atelier de Paul Jouve, ce Parisien ayant exposé au Salons d'automne et à celui des artistes français reçut des récompenses à plusieurs reprises. La Ménagerie des plantes lui servit de source d'inspiration, donnant lieu à de nombreux croquis et dessins réalisés sur le vif. Soixante-neuf d'entre eux seront proposés à la vente, avec des estimations comprises entre 40 et 500 €. Un Ours brun au crayon rehaussé de craie blanche se négociera à 300/500 €, tout comme un Caméléon au pastel et à la pointe noire sur papier. 

Deuxième jour des ventes le vendredi 3 mai, avec en tête une tapisserie (206 x 383 cm) représentant un paysage printanier (30 000/45 000 €). Pour 8 000/12 000 €, il sera possible de repartir avec un R ecueil de la diversité des habits, paru à Paris en 1567, par Descerpz François. Une tête de Bouddha en bronze du royaume de Siam (XIV e -XVI e siècle) pourrait changer de main entre 3 600 et 5 400 €. Une cruche en céramique de 950 à 800 av. J.-C., de l'île de Chypre, affiche une estimation plus abordable de 1 800/2 700 €.

Pour cette 14 e vente aux enchères numismatique, la maison propose, sur deux jours, la troisième partie de la collection « Jean Lecompte, les monnaies coloniales de l’Indochine française ». Elle comprend notamment une épreuve de quatre francs du Cambodge de Norodom I er (1860-1904) à 60 000 €. Parmi les autres lots phares de ces deux jours, un rarissime 80 ducats de 1621, de la Pologne de Sigismond III Vasa (1587-1632), pourrait atteindre la somme impressionnante d’1,3 M€. Parmi la jolie sélection de l’Antiquité, un statère d’électrum (500-450 av. J.-C) devrait récolter 70 000 € et un sesterce (69) de l’Empire romain au moins 25 000 €. Un module de 100 francs en or, de la Belgique de Léopold I er (1831-1865), frappé à l’occasion du mariage duc et de la duchesse de Brabant, sera mis à prix à 30 000 €. Un Portugalöser de 10 ducats, de la ville impériale d’Hambourg, en 1677, cherche un acquéreur pour au moins 50 000 €, tandis qu’un coffret comprenant cinq monnaies de 5 yangs, 1 yang, 1/4 de yang, 5 funs et 1 fun, de la Corée du Sud de Kojong (1864-1897), de l'An 501 (1892), pourrait se monnayer à partir de 40 000 €.

Composée de 115 lots dont les estimations débutent à quelques dizaines d'euros, cette vente est emmenée par une tête de bouddha au visage serein et aux yeux baissés en pierre beige, du royaume d'Ayutthaya (Siam) du XVI e -XVII e siècle (2 000/3 000 €), un groupe en bronze indochinois (vers 1900) figurant un paysan avec un buffle monté par un enfant (1 200/1 500 €), un bouddha en terre cuite émaillée jaune et vert (Chine, époque Ming, période Wanli, XVI e siècle, 800/1 200 €) et un plat en porcelaine de la famille verte d'époque Kangxi (1661-1722), à décor d'arbre fleuri, l'aile garnie d'insectes et d'oiseaux (800/1 000 €).

Les plus hautes estimations passent sous le marteau le samedi 4 mai avec Camille Pissarro et son Étude pour une femme étendant du linge à Éragny , un travail estimé 580 000 CHF. Albert Marquet et ses Maisons à Billancourt pourrait monter à 200 000 CHF. Louis Valtat voguera à 65 000 CHF avec Le Bateau-mouche tandis que Maurice Utrillo parcourra son Avenue des tilleuls, église de Montmagny à 210 000 CHF. 200 000 CHF sont encore attendus pour une huile sur toile de Gustave Caillebotte intitulée Le Jardin et 180 000 CHF pour T réboul le clocher et la rue vieille (Finistère) de Bernard Buffet, une œuvre de 1975.

Pas moins de 466 numéros composent ce catalogue. Parmi les pièces les mieux cotées figureront une bague en or gris ornée d'un solitaire de taille ancienne, de 4,38 ct (8 000/10 000 €), et un collier Boucheron pouvant se transformer en quatre bracelets, orné de trente-deux anneaux ronds ajourés en or jaune, chacun rehaussé d'un motif en platine serti de six diamants brillant (28 000/30 000 €). De grandes maisons joaillères françaises seront présentes, avec encore une bague de Jean Vendome en or jaune, à décor asymétrique en zoïsite et de plaques de rubis ornementales, rehaussées d'un diamant de taille brillant (6 000/8 000 €), et un nécessaire de beauté de chez Cartier, vers 1930, en émail noir et or jaune appliqué d'agrafes, au poussoir sertis de diamants calibrés (6 000/10 000 €). Les montres fermeront la marche avec notamment une « Submariner » de Rolex de 1996 environ, cotée 5 000/7 000 €.

Troisième et dernier jour des ventes, le samedi 4 mai, avec, outre une série de gravures des grands maîtres de la Renaissance, plusieurs photographies de Bettina Rheims (née en 1952), dont, en tête des lots, un portrait de femme acquis chez Ropac à Salzbourg en 1997 (19 000/28 000 €). Ce dernier jour des ventes reste dominé par les plus grands noms de la gravure avec Les Désastres de la guerre de Goya, deuxième édition de la suite réalisée entre 1810 et 1815 (18 000/27 000 €) et La Présentation dans le temple par Albrecht Dürer, une gravure sur bois, vers 1505 (15 000/20 000 €).

Tableaux, coiffures, équipements ainsi qu'armes blanches et à feu des XVIII e et XIX e siècles prendront le chemin des enchères, estimés entre 20 et 9 500 €. Au plus haut seront passés en revue un tube de canon fabriqué à Amsterdam par Pieter Seest en 1756, marqué « A VOC » pour la Compagnie néerlandaise des Indes Orientales (8 500/9 500 €), ou une épée française d'officier des gardes du corps du Roi, à monture en argent dite « à la mousquetaire », datée vers 1760-1780 (3 500/4 500 €). Sans oublier une giberne d'officier de cavalerie légère ou de garde d'honneur d'époque Empire, à coffret en bois recouvert de maroquin cramoisi, flancs latéraux en laiton argenté et patelette en accolade à bordure brodée de fil de cuivre argenté (2 500/3 500 €).

C'est entre quelques dizaines et moins de 1 000 € que se situeront l'essentiel de ces 300 lots de bijoux et pièces d'or. Si l'exception à la règle sera le bracelet en or jaune orné de cabochons de pierres vertes (2 500 €), 900 € permettront de s'offrir par exemple un bracelet en or jaune à mailles américaines.

Depuis une paire de fauteuils « midinette » créés par Luigi Caccia Dominioni, en contreplaqué courbé et assise de velours rouge (3 000/5 000 €), vous aurez tout loisir d’observer une vue de Montmartre peinte à la gouache par Maurice Utrillo au nouvel an de 1940 (20 000/30 000 €), et un dessin à l’encre de Chine annoté « Hôpital Broca bd d’Arago 13 e » par Foujita (6 000/8 000 €). Grâce à un chronographe en or jaune de Breguet (autour de 10 000 €), vous serez à l’heure pour enchérir sur une rareté : le Projet pour rendre la paix perpétuelle en Europe , dû à l’abbé de Saint-Pierre et spécialement édité pour Philippe d'Orléans, régent de France, à qui l'œuvre a été dédiée en 1717. Cet exemplaire en porte les armes (4 000/6 000 €). De type ottoman, un samovar en métal argenté, centré de médaillons polylobés dans un décor de treillage ponctué de fleurettes, changera de mains autour de 1 000 €.

Les estimations de cette vente en ligne culminent à 10 000 € pour un écu aux 3 couronnes de 1715 (Louis XV), en argent, d’environ 30 g. Un écu de Flandre (Louis XV), en argent (environ 36 g), pourrait partir à 5 000 €. Un écu de Béarn dit à la cravate de 1680, frappé à Pau, en argent (environ 26 g), à 3 000 €, et un écu de Navarre au buste juvénile, de 1660 et en argent (environ 26 g) à 2 500 €, font partie des autres lots à épingler.  

Vous aurez 107 occasions de faire une bonne action au profit du fonds de dotation La Tanière, destiné à permettre de sauver et de recueillir des animaux domestiques ou sauvages, indigènes ou exotiques, inaptes à la vie en liberté. Les fauves photographiés par Frank Muliez feront un clin d’œil à leur premier félin retraité d’un cirque, en 2019 (entre 1 200 et 1 600 € par épreuve d’artiste), tandis que Bayu , le singe immortalisé à l’aquarelle par Richard Heitz, saluera le primate de laboratoire que les fondateurs du refuge ont accueilli la même année (500/700 €). Sylvain Binet signe un Loup pop , dont le portrait a été réalisé sur plaque d'aluminium avec des résines en relief et un vernis brillant (autour de 1 000 €). Jean-Louis Aubert participera aux enchères à travers une guitare personnalisée par ses dessins de divers animaux (500/700 €).

Les arts anciens marqueront les temps forts de ce rendez-vous. Du côté du mobilier se distinguera un important salon de l'époque Louis XV en bois mouluré, sculpté et doré, à châssis à décor de fleurettes, rinceaux et feuillages, comprenant une paire de bergères, quatre fauteuils et quatre chaises. Compter 15 000/20 000 € pour cet ensemble provenant anciennement de la collection Henry Farman. On s'intéressera encore à un miroir provençal du même règne en bois sculpté et doré, à décor de pampres de vigne, fleurs, et fronton à coquilles et rinceaux (4 000/6 000 €), ainsi qu'à la sculpture en albâtre – issue d'un travail de Nottingham – du XV e siècle d'un Personnage en pied , longtemps restée cachée dans un grenier nivernais (2 000/3 000 €). Mais c'est peut-être un grand dessin du Flamand Lieven Cruyl, décrivant la Construction du pont du Louvre, Paris juin 1686 , qui devrait provoquer la plus belle bataille d'enchères moyennant 10 000 à 20 000 €.

Les cimaises ouvrent le programme avec Deux femmes au tableau de Roland Chanco (autour de 2 000 €), un ensemble d’œuvres colorées et essentiellement abstraites de Claude Maréchal, ou encore un acrylique et encre de JonOne titré Choices 2016 (6 000/8 000 €). Sculpturale, une applique lumineuse en bronze patiné de Félix Agostini, évoquant une hallebarde et créé en 1968-1969 pour A.F. Le Grand, est proposée dans la même estimation. Elle pourra être assortie avec une grande bibliothèque en laiton doré et verre fumé, de forme géométrique en escalier, fabriquée vers 1970 par Romeo Rega (2 000/3 000 €). Serge Moulle jouera la sobriété avec un lampadaire tripode en métal laqué noir, dit simple, édité dans les années 1950 (5 000/8 000 €). Signé Valenti vers 1970, un éléphant de bois recouvert de cuir s'ouvre pour devenir un bar (2 000/3 000 €).

Caron, Chanel, Coty, Dior, Guerlain, Jean-Paul Gaultier, Houbigant, Nina Ricci, Lemoine, Lolita Lempicka, Paloma Picasso, Schiaparelli, Yves Saint Laurent ou encore Worth… Plus de 350 lots illustreront le monde de la parfumerie, des flacons aux objets publicitaires, et des créations anciennes aux plus modernes. En 1949, Fernand Guérycolas a créé un flacon amphore sur piédouche étoilé en cristal incolore doublé overlay blanc, fabriqué par Baccarat pour "Diorama" de Christian Dior (700/900 €). Le "Rêve de Bonheur" de 1925, par G. Lemoine, a été emprisonné dans un très rare flacon en verre incolore, dont la panse ovale, parée d'une rangée de perles encerclant l'étiquette, est coiffée d'un bouchon figurant deux papillons affrontés butinant une fleur. Ce modèle a été dessiné par Julien Viard (700/1 000 €). Des bijoux fantaisie complèteront la sélection.

Pour cette 7 e édition du « Parcours céramique », à l'hôtel Belles Rives du cap d'Antibes, seront proposés plusieurs pièces de Pablo Picasso. L'occasion de s'offrir un pichet partiellement émaillé à engobes et gravures du maître, modèle Femme du barbu de 1953, édité par Madoura à 500 exemplaires (30 000/40 000 €), ou un vase Visage de profil de la même année, numéroté 51/150 (20 000/30 000 €). Une grande sculpture en terre enfumée, émail et engobes de Roger Capron, Diogène , datée vers 1995, pourrait partir à 8 000/12 000 €, et un plat Mythologie blonde réalisé en 1958 par Jean Cocteau, en céramique émaillée et crayons de couleur, édité par Madeline-Jolly et numéroté 4/20, à 2 500/3 000 €. Même Olivier Debré s'est adonné à cette technique. En témoigne un vase balustre en céramique émaillée du peintre, une pièce unique fabriquée par l'atelier d'Augusto Tozzola, à disputer à 4 000/6 000 €. 

Un lot de six pièces en or de 50 pesos, évalué à 10 800/12 000 €, partagera la tête de cette affiche avec un diamant de taille moderne de 1,90 ct, de couleur GH et pureté VVS1 (9 000/12 000 €). Il faudra encore débourser 4 000/6 000 € pour une bague en or jaune et or gris sertie d'un diamant central de 1,65 ct, dans un entourage carré de saphirs calibrés, et 1 500/1 800 € pour un sac « Kelly » d'Hermès à petit rabat en cuir noir.

De cette vente online de mode, on retiendra une valise de voyage en toile monogrammée Louis Vuitton (1 000/2 000 €), un sac porté main Lady Dior médium en cuir bleu glacier métallisé micro-cannage, édition limitée de 2015 (1 000/1 500 €), un sac porté main en cuir surpiqué et breitschwanz noir, collection Fendi Selleri,a édition numérotée (même estimation).

Une lampe d'ambiance Pipistrello , dessinée en 1965 par Gae Aulenti (1927-2012) et éditée par Martinelli Luce, est mise à prix à 1 250 €. Un canapé trois places, modèle « « LC2, dessiné en 1928, en cuir noir, numéroté, chez Cassina, vers 1970, par le trio Le Corbusier, Perriand et Jeanneret, ne devrait pas partir en deçà de 5 600 €. Une sculpture en marbre sur socle en granit noir de 1972 intitulée Patrocle gisant par Giulio Ciniglia (1931-2007) est attendue pour au moins 4 500 €. Citons encore une enfilade d'Alain Richard (1926-2017), modèle « 802 », de 1958, pour environ 5 000 €.

Affiches et plaques émaillées occuperont ce sommaire dédié aux arts de la publicité. Parmi les plus de 700 lots défilant au cours de cette journée, on remarquera notamment un thermomètre émaillé pour la « Potasse d'Alsace » édité par Jean Éclats, au décor de cigogne d'après l'artiste alsacien Hansi (500/800 €), ainsi qu'une plaque émaillée ovale promouvant le même produit (même estimation). Un kiosque du chocolat Menier du premier modèle (h. 28 cm) ravira les plus gourmands (même estimation), et l'affiche de La Bicyclette Claude Delage, du dessinateur Mich (début XX e siècle), motiver les plus sportifs (200/300 €).

De petits animaux en calcédoine, taillée et gravée en Russie au XX e siècle (1 500/2 000 € chaque), à une suite de huit chaises pivotantes Tulipe d'Eero Saarinen (éditées par Knoll International vers 1980) en aluminium recouvert de Rilsan et fibre de verre laquée blanc (3 000/5 000 €), ce programme offrira un large choix. Les cimaises seront tout aussi richement garnies avec notamment Le Ramasseur de poubelles , une huile sur papier d'Henri Manguin (8 000/10 000 €), et un dessin de Maurice Utrillo, Le Moulin de la Galette à Montmartre , de 1934 (même estimation). Sans oublier une paire de toiles, Nature morte aux fleurs et Nature morte aux ronces et papillons, de l'artiste marseillais du XIX e Charles-Joseph Node (2 000/3 000 €).

D’un émail polychrome et or figurant la sybille Europa, fabriqué au XVII e siècle et attribué à Jean ou Joseph Limosin (600/800 €), au plat asymétrique en céramique noire et motifs géométriques colorés, imaginé par George Jouve en 1956 (2 000/3 000 €), il n’y aura qu’un clic. Même diversité côté ameublement, entre une pendule de bronze représentant l'enlèvement d'Europe au XIX e siècle, d'après le modèle de Jean Joseph Saint-Germain (8 000/10 000 €), et une suspension "PH 4" en verre opalin et laiton, créée par Poul Henningsen vers 1930 (mise à prix à 2 500 €). Le charme opèrera avec Madame Barbet de Jouy, immortalisée par Philippe-Auguste Hennequin (1 500/2 000 €). Les amateurs d'argenterie remarqueront une jardinière de Boin Taburet, à décor de médaillons rubanés, tors de lauriers et canaux feuillagés (600/800 €), et onze coupelles fabriquées à Mâcon au XVIII e siècle, ayant pu servir pour des fards et appartenir à un nécessaire de toilette (500/700 €).