• [Emmanuel CHABRIER]. Gabriel FAURÉ (1845-1924). L.A.S., Néris-les-Bains [fin août ? 1885], à Emmanuel Chabrier ; 2 pages et quart in-8 (deuil). [85-29n.]
Sa femme est en cure dans « le coin le plus embêtant de la terre ! Il y a quelque temps je suis passé à Bruxelles et j’ai été saluer la façade de la Monnaie en l’honneur de Gwendoline. Tu penses bien que si rien d’absolument grave ne m’en empêche je ne manquerai pas de faire partie du train des amis lorsque le grand jour sera venu. On m’a dit énormément de bien de tout ce que je ne connais pas de ton ouvrage. N’aie donc pas le Tracassin et les petites sueurs ! Tout cela marchera fort bien et nous en serons heureux, tous »...
Nous utilisons des cookies pour vous offrir une meilleure expérience de navigation, réaliser des analyses de trafic du site et de vous proposer des contenus et des annonces les plus adaptés à vos centres d’intérêts.