Joseph Faverot (1862-1918)

Connu comme le peintre des clowns, le Montmartrois Joseph Faverot (1862-1918) produisit également quelques scènes de genre, à l’image de cette huile sur toile (75 x 126 cm), Veules les Roses, datée 1882 et estimée 2 000/3 000 €. Lui-même ancien clown...

Claude-François Julliot serait le commanditaire de ces deux meubles estampillés Joseph, attestant du renouveau de la marqueterie de cuivre et d’écaille au début de l’époque Louis XVI.

Le sculpteur art déco célèbre la pureté des lignes avec cette jeune fille, allégorie de la féminité.

Militaria et armes à feu paradaient à Toulouse, rangés derrière une arquebuse bavaroise du début du XVIIIe siècle, incrustée de florissants décors animaliers et végétaux.

La galerie de la rue de Seine consacre sa prochaine exposition (8 février-2 mars) à l'ébéniste breton, connu pour sa collaboration avec Le Corbusier – qui lui confia la réalisation de certaines de ses sculptures – et son approche renouvelée du mobilier régional.

Deux œuvres sur papier de Charles-Joseph Natoire rejoignaient l’Olympe qui les a inspirées.

Moins représentée que celle de la Vierge, la mort de saint Joseph relève d’une iconographie plus intime et agit comme un memento mori porteur d’espérance, attribué ici au peintre Basilio de Santa Cruz Pumacallao.

Si l’ébéniste virtuose en était l’invité vedette, la vacation lyonnaise faisait aussi la part belle à la sculpture de Joseph Chinard et à celle de l’époque médiévale.

Couverture de la Gazette n°14, la paire de cabinets de Joseph Baumhauer d’époque Louis XVI avait été commandée par le marchand mercier Claude-François Julliot. Les meubles illustrent le renouveau du goût pour le travail de l’ébéniste de Louis XIV sous l’impulsion de grands collectionneurs comme le marquis de Marigny.

Datée de 1967, cette composition de Joseph Sima évoque la pleine maturité de cet artiste tchèque, qui fut proche du mouvement surréaliste avant de se tourner vers une peinture abstraite et onirique.